Je me levai paresseusement de mon large lit emplie de coussin aux emblèmes familiaux et de baldaquins multicolores dignes des grands califes indiens. Le soleil était venu tendrement par ma fenêtre caresser mon visage aux traits fatigués de mon entraînement de la veille et des quelques missions des jours qui avaient précédés ce chaleureux réveil parmi l'atmosphère calme, confortable et silencieuse de la demeure familiale des No Taki. Mon horaire avait été brusquement bouleversé ces derniers jours car tout les rendez-vous que j'aurais supposé dût avoir avec mon sensei le légendaire Trafalgar Law ont été annulé à cause de sa mort prématurée. Le yonbi serait sortit de son sceau et aurait tué Law sensei du même. L'histoire racontait que la crainte Hanachi aurait maintenu le dangereux démon assez longtemps pour réussir à le re-sceller dans un objet gardé secret. Je me nettoyai mon visage dans un bassin d'eau près de mon lit , mon visage semblait fatigué lorsque j'aperçu celui-ci dans le reflet de l'eau du bassin. Tout mes rendez-vous avec mon sensei avaient été remplacés par des missions toutes aussi nulles les unes que les autres. La plupart de ces missions me forçaient à rester éveiller très tard le soir car elles incombaient pratiquement toutes du travail de nuit.
Après une courte mais bénéfique toilette, je me dirigeai vers l'hôtel que j'avais érigé en l'honneur de mon défunt maître pour lui rendre hommage une nouvelle fois comme je le faisais à chaque matin depuis environ une semaine. Au centre de cet hôtel prônait la statuette dorée de la déesse de l'eau que j'avais trouvé il y a plusieurs jours. Les jours étaient redevenus mornes et sans attrait depuis la mort de mon maître. Depuis un moment je ne côtoyais plus personne autre que moi même et mes temps libres ne se remplissaient que par de courts et brefs entraînements. Ces entraînements étaient simples et ne se résumaient pour moi qu'à frapper de longs et essoufflants enchaînements de coups sur les troncs des arbres du domaine No Taki. Mes bras et mes jambes étaient couvertes de bandages et d'onguents à cause des nombreuses blessures et échardes qui les recouvraient. J'enfilai un smoking comme j'aimais bien les porter en cette fraîche journée nuageuse et humide de ce début d'automne. Je n'avait rien prévu aujourd'hui n'ayant reçu aucun ordre de mission ni demande de service quelconque. Je prendrais donc la journée pour guérir de mes plaies et pour me reposer de mes missions et entraînements trop nombreux.
Alors quel ne fût pas ma surprise et mon exaspération d'entendre quelqu'un sonner à ma porte alors que je finissais un copieux petit-déjeuner . Un haut-gradé se tenait devant ma porte , il me tendit une lettre imprimée du sceau d'approbation de la mizukage.
-Tient c'est pour toi Musuko, c'est pour aujourd'hui alors ne lambine pas.
Je pris la lettre et claquai la porte au nez du ninja. Je regardai ensuite le document plié et le lançai sur la table où j'avais mangé mon repas du matin. Je n'avais absolument rien à curer de cette nouvelle mission ou service important qui requerrait encore de ma présence. Je m'écrasai donc sur un fauteuil non loin de la table, fixant calmement le document qui jonchai parmi les restes de mon petit-déj. Plusieurs minutes passèrent sans que je ne fit quoi que ce soit. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que je me jetai sur le document pour en lire le contenu. Incapable de soutenir cette demande de lecture insupportable. Après un instant, mes mains se mirent à trembler, le document tomba de mes mains. Puis dans un élan de joie je sautai dans la pièce en criant mon bonheur à tout les meubles de la demeure. On m'avait trouvé un nouveau ou plutôt une nouvelle sensei! Je n'en croyait pas mes yeux, je pourrait enfin reprendre un vrai entraînement qui pourrait porter réellement ses fruits! Ce ne fut pas long que je passai le pas de la porte en courant et en hurlant mon bonheur à tout les habitants des environs de Kiri. J'allais enfin reprendre le chemin du brouillard sanglant!

Je reprenais calmement mon souffle alors que celle qui se disait être ma sensei me questionnait sur moi et attendait visiblement une réponse.
Ces dernières cinq minutes, j'avais traversé kiri en flèche. Rien n'avais pu m'arrêter, je sautais par dessus les étalages et esquivais vivement les passants dans l'allée centrale de la métropole du pays de l'eau. La sueur s'était rapidement accumulée dans mon smoking mais je n 'en avais cure. J'avais une nouvelle sensei et j'étais au septième ciel que de pouvoir reprendre l'entraînement en compagnie d'un professeur. Je me surpris moi même à penser que je retrouverais Law-sensei au terrain d'entraînement, à croire qu'il serait encore en vie. Mais je ne devais pas me faire d'illusion, je devrai recommencer à zéro avec cette nouvelle professeure. Alors qu'un homme échappait ses caisses de volailles en manquant se faire renverser par moi j'eu quelques pensées pour le combat que moi et Law-sensei avions fait. Si je devais refaire une autre de ces victoires hasardeuses où je n'avais aucune chance face à un jonin de haut niveau, je ne crois pas que mon corps réussirait à tenir le coup très longtemps. Depuis le combat avec feu Law-sensei mes chakras n'étaient pas encore totalement régénérés malgré le fais que ce combat datait d'environ une semaine. Mais je devais arrêter de penser à Law, ma nouvelle sensei m'attendait et j'étais en retard. Comment elle s'appelait déjà? J'avais distraitement lu son nom sur le document. Emiki? Emika? Emiko ah oui Emiko! Une jeune femme dans la vingtaine je crois.
Je me demandais comment l'entraînement irais, si elle répondrait à mes attentes et si je répondrais aux siennes. Si elle pratiquait les mêmes méthodes que Law-sensei ou si elle était plutôt une de ces pacifistes sans avenir ni talent. Perdu dans mes pensées, je ne vis pas arriver le dur et immense grillage qui entourait le terrain d'entraînement. Le grillage devait probablement manquer d'amour ou un truc du genre car je m'aplatis au grand complet sur sa surface métallique. Je m'effondrai au sol pour me relever en tâtant mon nez pour être certain qu'il n'était points cassé. J'entrai sur la zone d'entraînement qui était déserte à cette heure du matin. Mon entrée fut accueillit par le léger chant des oiseaux et ponctué par le coassement d'une grenouille qui passait par là. Le temps était clément et le brouillard se faisait beaucoup plus léger dans cette région de Kiri. Je pris le temps d'observer l'endroit et de bien respirer pour calmer mon stress et mon excitation face à ma nouvelle sensei et pour avoir l'air le plus mature possible. Le terrain devant moi était parsemé d'arbres et d'arbustes feuillus qui baignaient dans les flaques d'eau du terrain détrempé résultat de la pluie d'hier soir. Mon premier réflexe fût d'aller vers l'endroit où j'avais pour la première fois rencontrer Law sensei. Il y avait là un joli lac ou j'aimais m'entraîner lorsque je me lassait du domaine de ma famille. Je m'engageai donc tranquillement sur le chemin boueux pour arriver vers le dit lieux où j'y trouvai une jeune femme aux attributs assez attirants. Elle avait de doux traits ronds et portait une longue cape. Ces yeux étaient d'un magnifique bleu clair qui semblait percer votre âme. Cependant, ce qui était particulièrement spécial chez cette attirante femme de la trentaine, c'était à la fois les longs cheveux blancs qui descendaient le long de son épine dorsale pour toucher ses fesses mais aussi le noir corbeau qui m'observait comme le faisait la femme en se moment même. Selon la description, c'était bien elle ma nouvelle sensei. Elle me semblait bien, un peu trop sure d'elle peut-être. J'avais l'impression de ne pas retrouver le même regard chez elle que chez les autres ninjas du village, bizarre. Son visage afficha à mon approche un franc sourire qui faisait briller ses yeux si spéciaux. D'un mouvement de tête qui fit bouger sa longue chevelure elle engagea la conversation.

- Je m’appelle Emiko Tanaka, dit-elle en souriant. A partir de ce jour je suis ta sensei et toi mon élève. Je suis très heureuse de t’avoir saches le. Je t’enseignerais tout ce que tu devras savoir pour devenir toi aussi un bon ninja dans le futur. J’aimerais aussi qu’à partir de maintenant tu m’appelle Emiko-sensei s’il te plaît. Bien pour commencer tu va me parler de toi. Quel est ton rêve, qu’aimes tu et que n’aimes tu pas ? Et ensuite parles moi de la façon dont tu te bats. Et puis aussi dis moi ce que tu pense du brouillard sanglant remit en place par Hanachi-sama.

Toute ces questions se bousculaient présentement dans ma tête, je ne savais plus quoi penser de cette jonin. J'avais compris dans certaines de ses phrases des sous entendus qui ne me plaisaient pas. Cette femme je le sentais, était une pacifiste dans l'âme. Sa manière de parler, de bouger et de sourire. Il était rare pour moi de rencontrer des gens de son genre. Je pris donc une bonne respiration. Je dirigeai ers elle un regard mût entre l'amusement, la colère et le défi, un sourire narquois apparut sur mon visage.
-Eh bien pour commencer, Emiko-sensei dis je avec une pointe de sarcasme dans la voix. Comme rêve, je n'entretiens peu de rêve, je commence par essayer de survivre du mieux possible pour ensuite me fixer des objectifs. Cependant, si je m'octroyais le droit d'avoir des rêves, j'aimerais pouvoir un jour être épéiste légendaire. Un éclair de défi passa dans mes pupilles. J'aime mon clan et cherche principalement à le reformer avec mes frères et j'aime bien prouver ma force à mes camarades pour qu'ils comprennent que face à moi ils n'ont ni talent ni puissance. J'aime voir les autres se soumettre à moi et j'aime le combat. Ce que je n'aime pas, et bien je tiens en horreur Ori Oi le genin illusionniste et je n'aime pas les nouilles au porc et au poulet! Comment je me bat? Eh ben je me bat pour tuer mon adversaire. Et j'imagine que la dernière question j'y ai répondu de moi même en vous parlant un peu de moi Emiko-sensei.
Je rentrai mes mains dans les poches de mon smoking en adoptant une pose blasée comme l'aurait si bien fait Law-sensei autrefois...Un sourire sadique et rieur s'affichait maintenant sur mon visaage e imaginant la mine à venir d'Emiko-sensei.

La réaction prévue apparut sur le visage de cette ninja indigne de son village. Mais elle disparut rapidement, ce jolie et tendre visage qu'arborait Emiko se transforma rapidement en rictus colérique. Le doute fusa alors dans mon esprit. En aurais-je fait trop? Serais-je allé trop loin? Les limites de ma sensei auraient-elles été atteintes? Toutes ces questions, j'y eu des réponses quatre secondes après ma dernière réplique. D'un mouvement fluide et brutal, Emiko-sensei partit en vitesse dans ma direction, un quart de seconde après un coup de poing de la force d'un boulet de canon s'enfonça dans mon ventre. L'air qui se trouvait dans mes poumons fut éjecté et mes yeux s'exorbitèrent sous la puissance du coup. J'étais totalement sonné par la réaction de l'attirante jonin. Du sang s'infiltra dans ma bouge dût au fait que j'aille mordu ma langue au moment de la puissante frappe. Mais en ce moment ce que je craignais le plus était bien sûr le contre coup, derrière moi devait probablement se trouver un ou deux arbres à l'écorce particulièrement endurcie. Et si je m'envolais après le violent impact je me briserais plusieurs os. Le temps me semblait comme au ralentit pourtant ma sensei elle, était en parfait contrôle de ses mouvements et à l'instant une douleur aigue se fit sentir dans mon dos au niveau de mes omoplates et de mon bassin. Pratiquait-elle l'acuponcture comme certain chasseur de déserteur? Non, j'analysai sa position. Quelque chose clochait apparemment sur elle. La réponse me vint à l'esprit aussi violemment que le coup de poing d'Emiko sensei. Cette femme au long cheveux pratiquait un style de combat très spécial. Je venais de me rendre compte que la douleur aigue qui faisait plisser mes traits provenait des cheveux d'Emiko sensei qui s'étaient allongé pour devenir une multitude d'aiguilles aux pointes acérées. J'étais pris au piège, tenterait-elle de me tuer pour on affront? Me torturerait-elle ?

Non, rien de tout cela n'arriva. Je tentai de m'échapper mais j'en était incapable, la manière dont son poing me tenait en respect et les longues pointes qui s'enfonçaient dans mon dos ne me donnaient aucun échappatoires. Elle commença à m'expliquer des trucs que je comprenais mal étant concentré sur la douleur persistante dans mon dos. Si je suivais des bribes de ce qu'elle diait je comprenais qu'au fond elle était contre la politique du brouillard sanglant et que ces pratiques ninja la répugnait au plus haut points et des trucs du genre. Bref cette femme malgré le faite qu'elle soit particulièrement belle et attirante restait une puissante tigresse défenseure de la paix sur le monde ninja. Elle fit un bref mouvement facial et je me retrouvai à voler dans les airs, je ne sentais plus la douleur dans mon dos et l'air venait sécher la sueur qui parcourait mon visage. Mais une seconde, j'étais dans les airs non? Donc j'allais probablement m'écraser au sol! Mon réflexe fût ultime. Je me retournai de moitié de façon à ce que mes mains fassent face au sol alors que j'étais à environ trente centimètres de celui-ci. Après le contact entre mes mains et le sol je fis un ultime effort pour rebalancer mon corps vers l'arrière où je pus retomber sur mes pieds sans trop de mal à une faible distance d'un gros tronc d'arbre. Je soupirai , de justesse! J'essuyai d'une main le sang qui coulait sur mon menton en faisant face à Emiko-sensei qui désormais avait prise une pose de combat vers moi. Les instructions? Réussir à lui faire une blessure ouverte.

Alors qu'elle m'expliquait les conséquences d'une défaite sur une pointe de sarcasme que je vis facilement venir, un kunaï glissa dans ma manche pour venir se poser dans ma main droite. Celui-ci était attaché à mon poignet par un léger bracelet que je pouvais détacher à tout moment si l'arme devenait encombrante. Quelques mudras bien placés et j'étais près , la situation devait rapidement tourner en ma faveur et j'avais déjà un plan en tête. Je chargeai donc de plein front l'experte de taijustsu qui était ma sensei. Elle para facilement mon coup de pied et dévia du même coup un rapide estoc que j'avais tenté vers son épaule gauche. Mais tout cela était prévu. Je lui souris alors que je me glissais sur son flanc pour lui asséner une attaque de kunaï car elle ne semblait pas avoir remarqué ma technique. Mais un instant plus tard un regard derrière elle de sa part me confirma le contraire. Derrière la charmante Emiko se trouvait en fait une trentaines de senbons liquides acérés que j'avais créé quelques secondes plus tôt avant le début du combat grâce à la proximité du lac. Maintenant qu'elle était prise en tenaille par moi et mon jutsu( malgré le fait qu'elle en sache la présence) ,je lui envoyai un rapide coup de pied sur le flanc pour l'empêcher de réagir trop directement et facilement. Le combat était déjà bien amorcé et depuis le début je n'avais eu l'impression d'aucun progrès, espèrons que la situation change rapidement...

Le plan ce passait bien jusqu'à maintenant et je m'en gratifiait intérieurement, si Emiko-sensei ne se décalait pas sur la gauche dans les prochaines secondes elle recevrait ma technique de plein fouet. De plus, si elle se dégageait du champ d'efficacité de ma technique, elle n'aurait d'autre choix que de recevoir une rapide attaque opportuniste de la part de mon kunaï. Je remarquai avec amusement que comme à mon habitude, chaque fois que j'étais en plein combat, un demi sourire s'affichait sur mon visage. Comme une provocation perpétuelle à mes adversaires, comme pour me faire moi-même garder une conviction que même dans la défaite une chance de victoire subsistait. Toutes ces pensées qui fusaient ainsi de toute part dans mon cerveau me firent réaliser à quel point une fois en combat le temps pouvait passer au ralentit. Les petites gouttes d'eau qui tombaient maintenant d'un ciel pluvieux dans lequel les nuages s'étaient amassés depuis le début de la rencontre semblaient ne jamais toucher le sol. Cependant un élément fâcheux du combat me donnait envie de frapper avec plus de vigueur et d'émotion; Tout les coups que je portais à Emiko-sensei ne lui opposait aucun défi ni même difficulté à parer ou à dévier.
Le petit sourire que j'arborais depuis tout à l'heure disparu subitement quand ma sensei m'attrapa violemment la jambe et la tourna de façon que je ne puisse plus me mouvoir dans mes coups. En fait, je ne pouvais à peine bouger sans ressentir une vive douleur. Ce qui m'enleva définitivement le goût de sourire avait réellement été au moment où je sentis une puissant masse épineuse me soulever par derrière et me projeter dans les airs. Un rapide regard par dessus mon épaule me confirma ce que je pensais, elle utilisait encore ses techniques chevelues. Cependant une question tracassait mon esprit, pourquoi m'avait-elle projeter ici si elle pouvait me mettre hors service d'un seul mouvement une secondes plus tôt?
Un éclair me frappa alors quand je vis une trentaine d'aiguilles liquides acérées foncer vers moi. Elle m'avait retournée contre ma propre technique, me forçant à l'annuler pour ne pas être grièvement blessé. Je l'entendis articuler quelque chose à la tonalité ironique derrière moi mais ne compris que partiellement ce qu'elle dit. J'étais beaucoup trop concentré sur mon prochain mouvement que sur les quelques défis que pouvait encore me lancer ma sensei. Je n'avais aucun autre choix, toutes les options, je les avait déjà calculé et j'en avais déduis que l'esquive m'était totalement impossible. Je devrais me résoudre à annuler ma technique. Un rapide mudras et les senbons acérés devinrent de fines gouttelettes qui tombèrent lentement sur le sol emportant avec eux le chakra que j'avais résolument gaspillé. Je me rattrapai sur mes mains avant de faire une pirouette vers l'arrière pour retomber sur mes pieds. Un léger amusement se lisait dans les yeux de ma sensei. Elle voulait décidément me donner une bonne leçon pour me affront de tout à l'heure. Je ne devais plus utiliser le corps à corps contre Emiko sensei, elle était trop dangereuse sur ce point. Je devrais me résigner à utiliser du ninjutsu à distance et à combattre ses techniques chevelues. Je sortit de la poche arrière de ma bourse de ninja que malgré mon smoking j'avais trouvé idéale de garder cinq ou six shurikens . Je les lançai en direction du flanc gauche d'Emiko où j'avais réaliser une défense minimalement plus faible que celle de droite. Des mudras rapidement composés firent affluer une importante quantité d'eau dans ma bouche dont les joues se gonflèrent sous la pression. Je crachai alors le puissant projectile aqueux qui rattrapait désormais mes shurikens par sa plus grande vitesse. Mon plan était peu ingénieux et fort simple, mais ce n'en était que la première partit. À mes côtés apparurent deux clones inconstant avec qui je chargeai ma sensei. Dans nos mains repostaient maintenant deux kunaï armé de parchemins explosifs. L'explosion et ma victoire seraient grandioses