Tu veux venir dans ma Sex Room?

Messages : 86 Date d'inscription : 09/12/2010

J'inspirai lentement alors que mes paupières demeuraient fermées. L'air que j'inspirai était chaud comme si je l'avais respiré à plusieurs reprises. Je m'éveillai lentement tandis qu'une migraine carabinée venait peu à peu me saisir le crâne. Je grimaçai sous l'effet de ce désagrément. Voulant me retourner dans mon lit je m'arrêtais en sentant un corps chaud collé contre ma peau. La mémoire commençait à me revenir. Cela avait été une sacrée soirée... et aussi une sacrée nuit. La vache ! Des filles dans son genre je regrettai de ne pas en rencontrer plus souvent. Je ne m'en sentirai que plus épanoui. Toujours était-il que je tenais son corps nu serré contre moi et que je comptais bien en profiter encore un peu. Mon agitation l'avait visiblement sorti de sa torpeur puisqu'elle se retourna pour me saluer d'un langoureux baisé auquel je m'empressai de répondre. Quelque chose me disait que la journée allait bien commencer. Je l'attirai davantage contre moi tout en toisant son ses yeux châtaigne qui me dévisageaient avec ardeur. J'aimais ce genre de regard. Celui d'une personne qui savait ce qu'elle voulait et qui savait s'y prendre. Pourtant, au moment de l'accoster, j'étais loin d'imaginer que sous ses airs de femme pouponnée se cachait une véritable bête de sexe. Comme quoi les fleurs restaient belles à regarder, mais avec des épines cela devenait encore plus excitant. Je n'avais que faire des règles sociales du temps que je pouvais m'éclater. Visiblement cette lady faisait partie de la même branche. Ce qui devait inexorablement et inéluctablement nous mener à cet instant présent, là dans ce lit. Je promenai mes lèvres sur les siennes pendant que mes mains glissaient sur sa peau à la recherche de ses formes excises. Elle m'adressa un sourire plus que prometteur me laissant deviner qu'elle était prête pour un nouveau tour. Enfin cela aurait pu se penser ainsi, sans compter sur l'intervention fracassante d'un drôle de type. Je l'entendis arriver depuis le couloir alors qu'il maugréait divers piaillements plus que pathétiques. Le type manquant de défoncer la porte et déboula dans la chambre alors que nous commencions tout juste notre étreinte. En constatant sa tenue, je le classai directement dans cette catégorie des vieux schnocks serviteurs qui magnaient le balai avec autant de passion que si celui-ci se trouvait dans leur cul. Le genre de mec raide comme une tige. Pourtant, celui-ci paraissait un tantinet surexcité par rapport à l'accoutumer.

-Yuna-samaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !! Non !! Pourquoi... ? Mais pourquoi ? Comment avez-vous pus recommencer. ENCORE ! Mon dieu je ne vous ai pas éduqué de cette façon. Si votre chère mère vous voyiez. Mon dieu, mon dieu, mon dieu. Moi qu'il lui avait promis de veiller sur vous... POURQUOI ?

« Okay, il n'est pas coincé, juste timbré... »

Le vieil homme continuait de déverser un flot de parole plus pitoyable les unes que les autres à mesure que se déversait ses propres larmes. On aurait dit une fontaine et je me demandai quand est-ce que cela allait s'arrêter. Il tomba ensuite à genoux tout en poursuivant ses plaintes à l'égard de cette défunte mère. Voilà qu'il parlait tout seul à présent. J'eus pendant un instant la vive envie de lui envoyer mon pied dans la figure. Hélas, lorsque je voulus me relever mon cerveau reçu un afflue de sang imprévu me renvoyant une nouvelle migraine. Les rayons du soleil qui filtraient par les rideaux de la pièce n'arrangeaient en rien mon cas. J'eus l'impression que l'on resserrait un étau autour de mon crâne. Je plaçai instinctivement une main devant mes yeux tout en cherchant à tâtons mon boxer. Le décor vacillait légèrement autour de moi, pourtant je ne pensai avoir bu plus que de raison pour une fois. Je me frottai les yeux avec lassitude tout en faisant craquer mes épaules. Pendant ce temps Yuna s'était levée, sans prendre la peine de s'habiller pour aller se disputer avec son serviteur. Ses plaintes redoublèrent de vigueur, mais celle-ci concernaient cette fois son manque flagrant de pudeur. Soudain, un éclair de révélation me traversa l'esprit.
-Mais en fait t'es une bourge? Dis t'aurais pas quelques ryos, me faut un café pour me remettre de la soirée d'hier.
-C'est vrai que je ne pensai pas qu'un homme pouvait autant boire... Regarde dans la poche intérieure de mon kimono.

Une fois mon futal enfilé j'attrapai le dit kimono pour récupérer le fric avec l'intime sentiment de mettre prostitué. Je profitai de l'occasion pour en récupérer plus que prévus, histoire d'avoir de quoi me payer à bouffer à midi. Je rangeai le tout dans une de mes poches puis parti en quête de mes autres affaires. Le serviteur venait de cesser de pleurer, mais continuait d'afficher une mine déplorable. Il enfouit son nez rougis par le chagrin dans un mouchoir. Désormais en pleine possession de mes effets je décidai de m'en aller ; ne pouvant supporter le vacarme entre ces deux zigotos. J'attrapai le kimono de la lady au passage puis le posai sur ses épaules nues. Je déposai un bref baisé sur sa joue tout en lui lançant un regard lui promettant de prochaines retrouvailles. Elle me sourit, conquise tandis que le serviteur m'adressa un regard plus tranchant une lame de rasoir. Vu ce que je venais de faire avec sa protéger il ne devait certainement pas me porter dans son coeur. Par grâce je lui faisais don d'un conseil plus qu'avisé. Je me penchai sur son oreille pour lui murmurer ces mots.

-Entre nous mon gars tu devrais mieux la surveiller. Parce qu'avec elle c'est pas de l'amour, mais du baisodroom.

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Sans lui laisser le temps de répliquer je quittai la chambre d'hôtel. Je me rendis vers le bar le plus proche, torse nu, avec mes toutes mes sur l'épaule. Le pays des vagues faisait partie de ces lieux que l'on ne souhaitait jamais quitter pour son climat de rêve. La pauvreté qui y régnait ne manquait pas d'en rebuter plus d'un, mais pour des types comme moi, il n'y avait pas mieux. Mon mal de crâne redoubla d'intensité à la lumière du jour. Il devait être midi ou quelque chose dans le genre. Je commandai un café puis m'installai sur une terrassasse donnant une vue imprenable sur la mer. Au-delà de celle-ci on pouvait apercevoir les contours des côtes du pays du thé. Du moins je croyais. Je m'affalai littéralement sur une table, manquant de renverser ma boisson. La chaleur ambiante n'arrangeait en rien mon cas. Les yeux mi-clos je fixai un point dans le vide sans réellement distinguer la silhouette tournée vers moi. Je sentis une perle de sueur partir de ma tempe pour glisser le long de ma joue. On racontait que boire un café un lendemain de murge permettait de mieux s'en remettre. Quelle connerie! J'aurai probablement mieux fait de me payer un jus de fruit, quitte à le vomir plus tard. Je ne devais vraiment pas payer de mine. Mais je m'en moquai, tout cela en valait la peine. Bon sang qu'est-ce que cela avait été bon... Même si mon estomac commençait à se retourner sur lui-même. Et puis c'était qui cette personne à me fixer ? Ma vision à moitié troublée ne me permettait pas de déterminer ses traits. Je me fis violence pour me redresser sur ma chaise et me frottai les yeux. Ma vue redevenue correcte, je pus distinguer l'individu qui se tenait devant moi. Je devais admettre qu'elle possédait un assez joli minois et un corps bien foutu, contrairement à sa coiffure qui laissait à désirer. En vue du bandeau et de son accoutrement je devinai qu'elle était originaire de Kirigakure.Ma mise en scène avait visiblement attiré son attention. Je me justifiai de mon comportement par la simple vérité.

-Lendemain cuite. Je crois que j'y suis allé un peu fort sur ce coup-là. Et au fait qu'est-ce que tu fous là ? Kiri c'est pas la porte à côté.

Je lui lançai cette remarque d'un ton détaché, comme si nous nous connaissions depuis longtemps.

花血霧

Rencontre dans le bar..

Cela faisait longtemps que j'avais point fermé l’œil, près d'une semaine je crois. Je ne m'en rappelais même plus. Mon lit me manquais, ce lit de grande taille et couvert par de la soie digne des défunts Fuku. J'avais l'honneur d'être recouvert par ce tissu qui autre fois avait fait la fortune de la famille la plus riche de notre village. Je clignais de l’œil, la fatigue me faisait cette effet mais je devais résister. Les lames parlaient entre elle et leurs bruit raisonner dans cette île. Celle aurait put devenir une île touristique, si je n'aurais pas cacher son existence. Fin, j'ai essayé de nombreuses fois de la conquérir mais cela fut un échec. Les monstres régnant dans les lieux ne sont pas du tout commun et ont tenté de nombreuses fois de nous dévorer. A présent, ils ne peuvent pas un de mes ninjas à réussi à poser un sceau sur une partie du terrain pour qu'on puisse s'entrainer mais pour combien de temps ? Telle était la question.

Ces fichus monstres n'attendaient que ça, assis près de la barrière du sceau, ils nous observaient et patienté. De temps en temps, l'un d'entre eux fonçait dans la barrière souhaitant qu'elle cèdent. L'un d'entre eux était un gorille de taille anormal, me rappelant le démon de Law, Yonbi. Il n'avait essayé qu'une seule fois et là, il s'apprêtait à retenter sa chance. Le bruit de kubikiri s'arrêta, nous restâmes figés face au monstre priant les dieux, si ils existaient. Un bruit d'éclat de verre assourdissant retentit. « Enflure, il a réussi » dis je à la fois étonnée et énervée. Le ninja qui avait fait le sceau se fit littéralement avaler par le gorille, celui ci continua à saccager nos provisions. Je ne pouvais le laisser faire. Je bondis dégainant kubikiri pour tenter de la lui planter dans la gorge, mais là presque arrivée à son cou, un énorme vent m'effleura avant que sa main ne m'atteignent et m'envoya valser sur le sol pendant une trentaine de mètre. Je me releva, des coups j'en avais déjà pris des plus forts que ça mais pas des bêtes de ce genre, c'est autre chose.
/ Laisse moi me défouler dessus, aller s'il te plaît.\

« Rentrer au village et n'en parler pas ! Je vais me le faire ! Il doit y avoir de sacrée litres de sang dans ce corps, si je reviens pas toute de suite ça sera que je m'y baigne. » Ils sautèrent dans la barque et allait repartir lorsque l'un d'entre eux me demande comment j'allais rentrer. « Dégagez bordel ! »

Je laissais Sanbi prendre un peu possession de mon corps et cela activa un manteau de chakra de couleur bleu avec à son bout une queue puis une seconde. Le combat dura de nombreux heures avant que je lui montre qui était la patronne. Mais cela avait un prix, à présent j'étais exténué, allongé sur le bord de l'île. Je n'avais pas réussi à le dépeussé il ne s'était pas laisser mourir ici et pour la première fois j'avais laissé ma victime partir. Fallait se dire qu'elle n'était pas comme toutes les précédentes. Je me reposa quelques heures, 3 exactement avant de repartir au village à la nage a l'aide des branchies que je venais d'invoquer. Je m'arrêta au pays des vagues pour me reposer, mes yeux picotés de fatigue. C'était un pays dans lequel je ne m'étais pas rendu depuis longtemps, j'avais autrefois mangé dans un de ces bars restaurants avec des compagnons d'armes. Un pays très pauvre, qui n'as pas de village caché et donc réduit à des mercenaires. On dit que ce pays est démuni mais certaines personne de celui ci sont des plus riches grâce à leurs usines. Je rentra dans le plus grands bar, espérant qu'il me reconnaitrons et m'offriront la boisson car je n'ai rien sur moi. Je poussa la porte, il n'y avait que très peu de gens. L'une d'entre elle attira mon attention, il était torse nu, affalé sur sa table et n'avait pas l'air de voir clair. Il se redressa et crispa un peu ses yeux pour voir correctement. Après quelque seconde, il me fit comprendre qu'il s'était bien amuser la veille et que à présent il en subit les conséquences. Il osa me demander de manières très familier qu'elle était la raison de ma venu, est ce que cela était ses affaires.

« En quelle honneur tu oses me parlait de cette façon puis ce n'est en aucun cas tes affaires puis mêle toi de tes tripes. Une boisson s'il vous plaît » Il m’amena un verre de saké que je bus aussi tôt d'une seule gorgée puis je me tourna vers l'homme « C'était délicieux....tu payes l'addition ? » Son haleine empesté et je ne pus m'empêcher de lui dire « C'est pas que je t'apprécie mais tu devrais prendre un chewing-gum » Après m'être déshydrater, je n'avais plus grand chose à faire dans ce lieu. Je me leva afin de mettre les voiles....

©By Hanachi

Désolé pour ce petit post.