Une éducation à refaire...

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- Pfff.... c'est chiant d'attendre.... je m'ennuie d'une force.

La tête en appuie sur mes mains, les coudes posés sur mes cuisses, j'étais assise en tailleur sur ce banc en argile ou en terre, enfin fait de la même matière que les maisons de notre village caché du vent. J'étais là, entrain d'attendre et comme vous l'aurez sans doute déjà compris, j'attendais avec une certaine impatience. Pas que la personne qui devait arriver était en retard, loin de là, c'est juste que ces mon tempéraments. Si je me trouvais là à contre cœur, c'était parce que Kazekage-sama avait eu une brillante idée, il avait décidé de m'assigner un ninja de rang supérieur de notre belle communauté pour m'apprendre à avoir de bonnes manières. Toujours d'après le chef de village, j'avais un naturel légèrement trop impulsif, un manque de maturité flagrant faisant que j'avais pris un peu trop l'habitude d'ignorer régulièrement ses ordres. Moi j'appelle ça avoir du caractère, mais bon chacun son point de vue.

Du coup je me retrouvais là à attendre, j'avais même fait preuve de bonne volonté, j'étais arrivée en avance, j'attendais déjà depuis bien cinq grosse minutes, facilement. Alors vous comprenez que j'en avais maintenant marre. C'est à ce moment là qu'il se passa quelque chose qui allait m'être fatale, une chose des plus inhabituelles se produisit, vous vous demandez bien quoi, je vais vous le dire, je vis quelques mètres devant moi, sur le mur d'une maison, des fourmis ! Vous imaginez pas comment, une simple colonie de fourmis peut paraître extraordinaire pour une personne qui est dans ma situation et qui s'ennuie fermement. Je me levais alors d'un bond pour rejoindre ce spectacle unique à cet instant. Mais j'ignore si c'est par remord, je sortais un bout de papier de ma bouche et je laissais un petit message pour mon senseï.

Citation :: J'arrive dans cinq minutes, Dolly Wax.

Je posais le papier sur le banc où j'étais précédemment assis puis je me rapprochais pour voir la colonie de plus près. Je la suivais alors m'engageant dans les petites rues de Suna, dans l'espoir de pouvoir trouver la fourmilière ou mieux encore, la réserve de nourriture. Ce que j'ignorais c'est qu'au même instant, le message que j'avais laissée venait de s'envoler perdu dans la nature. Je continuais alors ma route, c'est à ce moment là que je perdis la vue avec les fourmis qui rentraient dans l'une des nombreuses maisons en argile ou en terre du village.

- Pas drôle.... Bon je vais retourner sur mon banc.

C'est alors que j'eus l'idée du siècle, j'allais faire une petite blague à mon senseï. Relevant la manche de mon bras, j'invoquais l'une de mes nombreuses poupées, c'était El Padre, une sorte de géant faisant plus de trois mètres avec un ventre fortement imposant. Je pénétrais alors l'intérieur de son ventre, puis sous les allures d'un gros bonhomme au sourire terrifiant et au haut de forme imposant, je retournais sur le lieu de rendez-vous, apercevant cette fois un homme ressemblant plus ou moins à un shinobi. Je prenais alors une voix assez grave, pour faire genre c'était le gros bonhomme me servant d'apparence qui prenait la parole.

- Je vous pris de m'excuser jeune homme, mais savez-vous où ce trouve une certaine Dolly, Dolly Wax, cette gamine m'a volée mon portefeuille pourriez-vous m'aider à la trouver ? A cause de mon ossature lourde, je n'arrive pas à la rattraper lorsque je le retrouve. La dernière fois que je l'ai vu, c'était la dedans. Dis-je tout en montrant les ruelles sombres de Suna. Alors ?

Je me demandais si mon senseï allait se faire avoir ou non ? Enfin normalement il ne devrait pas pouvoir se douter de la supercherie sauf si jamais Kazekage-sama lui avait parlé de mes capacités et de mon humour plutôt pittoresque...

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C’était le soleil qui venait de se lever qui réveilla notre jeune Épéiste de son sommeil de plomb et qui par d’un geste superbement subtil et gracieux, en voulant se cacher du soleil, tomba de son lit pour finir écraser sur le sol, en râlant… À peine avait il eu le temps de se préparer qu’il reçut un message comme quoi il devait s’occuper d’une genin. Son statue de Jonin ne l’enchantait pas et même loin de là, le fait de devoir faire la baby-sitter pour une gamine lui déplaisait au plus haut point. Mais bon, un ordre est un ordre même si celui-ci était des plus détestable pour Akiro. Il se mit en route le plus lentement possible…Je me baladais dans les rues de Suna, tous les gens se retournaient sur mon passage, mais pas pour mon extrême beauté ou mon magnétisme ravageur plutôt à cause des trois sabres qui étaient accrochés à ma taille. Pour les autres Ninjas se balader avec trois sabres ne servaient à rien vu que l’ont avaient que deux mains mais personnellement je préférait me battre avec trois sabres chacun ses kiff. Bon il fallait maintenant que je trouve ce point de rendez vous qui n’étais rien d’autre qu’un banc qui était vide d’ailleurs avec un mot apposé sur un morceau de papier blanc :

« J’arrive dans cinq minutes, Dolly Wax »

- J’ai même pas encore commencé et ça me fait déjà chier… Soupirais-je avant de m’asseoir puis de m’allonger sur le banc pour y terminer ma nuit que le soleil m’avait cruellement empêché de finir, même s’il n’était que midi…
Quand d’un coup je me fis réveiller par une sorte de gémissement grave venant d’un peu plus loin, je me leva et alla voir de quoi il s’agissait… Je m’approcha et écouta la plainte du gros bonhomme qui se trouvait devant moi. Au bout de dix seconde l’homme me soulait, j’en avais vraiment rien à faire de ce qu’il avait perdu et pour terminer la conversation bien comme il faut je lui répondit :

- Écoute mon gros, tu vois là-bas, tu prends la prochaine à droite, il y a une sale de sport, avec un peu d’entraînement, la prochaine fois tu la rattraperas… Lui dis-je avec un sourire…

On m’avait donné une mission c’était de faire le baby-sitter alors déjà que ça c’était chiant j’allait pas en plus me coltiner le vol à l’arracher d’un gamine… Je repartis m’allonger sur le banc en attendant que la jeune fille se présente afin de terminer rapidement cette mission et donc de pouvoir retourner s’entraîner seul si possible…

ps : excume moi c'est court mais j'ai du faire au plus rapide.

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Sous les traits d'El Padre, ma magnifique poupée à l'image d'un vieille homme de mon clan aujourd'hui disparu, j'attirais grandement l'attention des divers villageois passant dans cette rue. Que de regards d'étonnements pesaient sur moi, mais je n'y faisais pas vraiment attention, je préférais penser à la suite de la mauvaise plaisanterie que je comptais faire à celui qui deviendrait peut-être mon senseï d'ici quelques minutes. Un senseï de plus dans ma vie de ninja, c'est pour savoir qu'elle genre d'homme il était que je l'avais approchée avec mon imposante poupée. Toujours dans l'optique de juger sa personnalité, j'avais inventée une histoire de vol de portefeuille, pour voir comment il allait réagir, m'aider ou alors me traiter comme quelqu'un d'inférieur. Voir même, il aurait pu me démasquer et cette dernière option aurait été la meilleure solution s'il espérait avoir mon respect un jour ou l'autre.

Vous avez bien lu, j'ai bien dit « aurait été », car le ninja supérieur que Kazekage-sama avait décidé de m'attribuer pour faire une fois de plus mon éducation de ninja fit le choix de ne pas m'aider, d'insulter ma poupée en lui conseillant de faire un peu de sport. J'étais déçus, il semblerait que je n'allais pas avoir un homme de goût transpirant la politesse, rien à voir avec certains de mes ex-senseï. Finalement, aucun regret, il mériterait ma mauvaise farce, car me cacher El Padre n'était que la première phase d'une longue suite. Jusqu'à ce qu'il soit à genoux. Après m'avoir craché son venin au visage, il s'apprêtait à partir. Je posais alors ma main sur son épaule et repris ma grosse voix.

- J'en informerais le Kazekage-sama jeune homme. Votre statut de ninja du village ne vous donne pas tous les droits.

Il avait sans doute fait totalement abstraction de ce que je venais de lui dire, et tant mieux. La suite serait des plus hilarants. Mon senseï parti alors s’asseoir là où je me trouvais plus tôt, ou devrais-je dire, il se coucha dessus. En plus d'être grossier, il était légèrement frimeur, il s'imaginait à coup sûr que s'occuper de moi était quelques choses de bien trop simple pour une personne de son grade. Mais s'il y a une personne pouvant être hautaine ici, c'était moi. A ce gamin je lui apprendrais la politesse. Toujours sous les mêmes traits, je repartais dans les rues sombres de Suna, une fois m'être assurée que mon senseï ne me voyait plus, j'invoquais alors deux autres poupées, mes sœurs jumelles Oddyl et Lydol Wax. Marionnettiste d'un certain niveau, contrôler trois poupées était amplement dans mes capacités. Ai-je dis trois ? Je voulais dire quatre.

D'un mouvement de doigt j'obligeais alors mon senseï à ce lever de son banc à travers les fils de chakra que j'avais posé sur son corps un peu plus tôt en posant ma main sur son épaule. Il n'avait sans doute pas compris ce qu'il venait de ce passer c'est alors que Oddyl, la poupée à la cravate rouge envoya une pierre directement sur la tête de mon senseï, et une fois que celui-ci remarqua d'où venait la pierre, je lui fis alors tirer la langue. J'obligeais alors le juunin à se lever, puis à tomber par terre d'une façon des plus ridicules puisqu'il tomba les fesses en l'air. A ce moment, le sourire sadique d'El Padre était parfait pour représenter mon visage. Autours de lui les quelques passants rigolèrent de bon cœur. Oddyl, disparut alors dans les rues, puis je fis sortir Lydol, à la cravate bleue de façon à lui envoyer une autre pierre, mais cette fois d'une autre rue, et une fois qu'il la remarqua elle disparut aussi. Quand à El Padre, il était monté d'un bond sur le toit des maisons, afin de pouvoir contrôler les deux poupées, ainsi que le juunin si jamais il ne remarquait pas le fil de chakra se trouvant collé à sa nuque. Comment allait-il réagir au début d'une longue et fastidieuse farce.

- Maintenant on va rire, dis-je tout en ayant un rire étouffé.

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Messages : 92 Date d'inscription : 07/01/2011

J’étais parti pour me rallonger quand soudain je sentis une main se poser sur mon épaule, c’était le gros monsieur que j’avais rembarré il n’y a pas cinq minutes, mais que me voulait il encore ? Bon je reconnais ne pas avoir été très poli avec lui, mais il n’avait pas qu’à me parler dans un de mes mauvais jours. Mais là n’était pas la question, il était trop tard pour me remettre en question, donc comme bonne action, j’allais prêter une oreille attentive à ce qu’il avait à me dire. C’est vrai que lorsqu’on pense, le temps passe soudainement très lentement, j’avais l’impression d’avoir attendu qu’il parle, enfin bref…
Je voulais faire un effort, et bien mon effort aura été fait pour rien vu qu’il vient de me dire qu’il allait parler de ma conduite au Kazekage. D’ailleurs je le plains, être obligé de remonter les bretelles de petits cons comme moi doit être terriblement chiant à force.
Mais bon si l’on revenait à notre petite Genin, après m’être allongé je sorti sa fiche de renseignement que l’on m’avait fourni pour avoir quelques informations sur ma possible futur élève. J’ai pu y lire qu’elle était spécialisée dans le Kugutsu, art très respectable et de la même catégorie que le mien…

Mais à peine avais-je pu lire quelques lignes, que mon corps se leva sans que je lui avait donné l’ordre. Cette situation était extrêmement désagréable surtout que la seconde d’après je me retrouva le cul en l’air et à manger du sable après m’être lamentablement écrasé sur le sol sans aucune raison apparente. Bien sûr les passants rigolèrent, j’aurai fait de même mais quand même ! Je me releva tout en essayant de trouver une raison, et en me massant la nuque je pu découvrir un fils de chakra qui y était relié directement. Je fis vite le rapprochement, mais comment une shinobie de niveau génin peut elle manier cet art à ce niveau là de maîtrise. Il y avait hippopotame sous gravillon et je me devais de découvrir.

Mais avant que je ne tente quoi que soit, je reçu un caillou sur la tête, une fois que je scruta sa direction d’origine, je vis une jeune femme avec une cravate rouge qui me tira la langue et disparut ensuite, et dans la seconde d’après la même jeune femme apparut avec une cravate bleu et de l’autre côté pour me renvoyer une autre pierre… Je me releva et posa mes fesses sur le banc pour réfléchir à la situation. Bon il y avait d’abords ce mot « je reviens dans 5 minutes » puis ce gros monsieur beaucoup trop balèze pour être honnête et humain surtout puis deux nanas sorties de nul part me balance des cailloux et ensuite ce fil de chakra coller à ma nuque…

- Bon et bien je crois qu’il n’y a qu’une seule option possible… Mademoiselle wolly dax ou dolly wax pouvez-vous vous montrer en prenant soin de ranger vos pantins je vous prie même si je doute qu’il vous appartiennent vu votre niveau…

J’attendais sa réponse en espérant ne pas m’être trompé sur mon hypothèse et si c’était le cas, je cherchais encore à savoir comment et surtout pourquoi un marionnettiste voudrait me faire une mauvaise blague, je n’a que très peu d’amis parmis les ninja et les civils je les envoient chier donc comme l’hypothèse d’un civil marionnettiste est exclu, il ne reste plus que soit c’est ma jeune future élève qui fait des siennes soit c’est un marionnettiste qui m’en veut pour je ne sais quelle raison mais dans tout les cas je venait de passer pour un idiot dans le village du moins pour les peu de passants qui m’avait vu me manger royalement….

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Dolly Wax

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- Tiens, mon senseï semble plus intelligent que je ne le pensais, il a réussi à deviner qu'il avait à faire à des marionnettes, il a presque tous compris, mais faut qu'il comprenne que mon art est bien plus noble que de simple « marionnette », moi je contrôle des poupées c'est quand même bien mieux. Allons, passons maintenant à la suite.

Pour la suite des événements, il allait falloir que je change légèrement de stratégie, car il semblerait que d'une part mon senseï ne comptait pas partir à la recherche des fillettes lui envoyant des pierres à la tête, et encore moins à ma rencontre. J'aurais presque pu avoir tendance à penser qu'il n'en avait rien à faire de moi, et pourtant il semblait quand même me connaître un peu, car il avait pris connaissance de mon style de combat, enfin à quelque chose près, il savait juste que j'utilisais l'art du kugutsu et en avait donc déduit qu'il avait à faire à des poupées. Savait-il pour El Padre ou c'était juste les jumelles dont il parlait. Cela n'avait pas réellement d'importance, après tout même mon corps est une poupée. J'aurais même tendance à dire que c'était mon chef d’œuvre.

Il semblait que le professeur que m'avait assigné Kazekage-sama, savait faire preuve de retenu et surtout de réflexion, car il n'était pas rentré dans mon plan, enfin pas encore, et surtout il avait fait la relation être plusieurs choses, les personnes étranges l'attaquant sans raison, son corps ne réagissant pas comme il le voulait. Maintenant qu'il savait ce que j'étais, je n'avais plus aucune raison de me cacher. J'ouvrais alors la porte se trouvant dans le ventre d'El Padre pour sortir de la poupée, tout en prenant soin d'attraper l'un des outils indispensable pour jouer mon personnage, je parle bien sûr de ma traditionnelle sucette, vous savez celle qui sont plates, grandes et surtout rouge. Les sucettes l'une des seules douceurs me manquant depuis que je vivais à travers des corps artificiels, mais bon la jeunesse éternelle n'est pas gratuite, j'ai du faire de nombreux sacrifices, mais j'ai toujours été prête à tout pour atteindre mon but.

Je disais donc, que j'étais sorti du ventre de la poupée, en refermant la porte derrière, je faisais monter les deux jumelles sur le toit pour me rejoindre. Entourée de mes trois poupées, la sucette dans la main, j'observais alors mon senseï qui ne semblait pas m'avoir encore remarqué. Faut dire que je le regardais de façon discrète, en étant couchée sur le sol, et dont seul le haut du visage était visible. Rajouté à cela le soleil se trouvant derrière moi, une planque idéale en quelque sorte. Je me le levais alors, mettait mes mains autours de ma bouche comme pour faire une effet haut parleur, puis je me décidais à afin lui répondre. Après plusieurs minutes d'attentes de son point de vue.

- C'est vous mon senseï ? Dis-je d'un air intriguée. Vous semblez drôlement faible quand même pour un ninja supérieur. Enfin je veux dire vous allez pas l'air bien efficace, vous devez avoir plein de bonne relation pour avoir atteint ce grade. Je dis pas ça pour vous énervez loin de là, mais c'est juste que vous êtes pas bien musclé, tout maigre, pas très grand, puis vous êtes un peu vieux, enfin moi je m'inquiète un peu pour mon avenir entant que ninja si c'est vous mon professeur, donc j'ai décidé de vous tester avec mes poupées.

Ma petite intervention n'avait pas pour but d'énerver mon senseï, enfin si un petit peu aussi, mais le but principal étant qu'il se tape un peu la honte devant toutes les personnes présentes dans la rue qui commencèrent par le regarder bizarrement pour après rigoler de lui. Quand je vous disais que je faisais une mauvaise farce, c'était pas une blague, mais j'ai pas dit que ça allait être drôle, sauf pour moi. J'adore faire tourner les gens en dérivent. Il était évident que mon senseï aimait son côté ninja mystérieux. Faire son beau en étant distant avec les autres, un grand classique chez les hommes. Et en général le meilleur moyen pour les vexer, c'est de les tourner en ridicule sur la place public.

- J'espère que vous êtes prêt senseï, criais-je de nouveau. J'ai pas envie de vous faire mal.

Tout en levant alors ma main et en bougeant légèrement mes doigts, El Padre attrapa une jumelle dans chaque mains, puis sauta au dessus de moi en direction de la place. Durant son saut il envoya les deux poupées jumelles de chaque côté de mon senseï une sa droite, l'autre à sa gauche. Et fini son saut en atterrissant quelques mètres devant lui. Mon maître était encerclé par mes trois poupées,

- Maintenant si vous voulez que j'arrête de vous faire tourner en rond, va falloir m'attraper. Pour faire preuve de bonne volonté, j'enlève même le fil de chakra que je vous ai posé tout à l'heure lorsque j'étais dans le gros devant vous.

D'un mouvement de doigt, j'enlevais le fil de chakra de sa nuque pour le faire revenir à moi.

- Bonne chance !

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Après avoir appelé mon futur possible disciple, je tournais sur moi-même afin de couvrir tous le terrain de mon regard et essayer de discerner une silhouette de genin soit sur les toits des habitations soit sur les rues qui m’entouraient. Mais pendant les trente premières secondes je ne vis rien autour de moi avant d’entendre des paroles venant d’en haut où plutôt d’un des toits que j’avais observés précédemment…
Je venais d’avoir en visuel la genin dont je devais me charger, elle avait l’air assez faible, même si quelques chose me dérangeais chez elle, un je ne sais quoi qui était peu supportable mais bon il fallait faire avec… Donc au fur et à mesure qu’elle parlait, elle ne faisait que déblatérer des ineptie sur mon compte ne connaissant même pas mon nom et donc ne sachant même pas de quoi je suis capable mais cela m’était égal, en présence de civil de je ne devais pas déconné sino je passais à la casserole encore une fois… Mais elle me provoqua en duel, ce qui était une conduite très étrange pour un élève sortant de l’Académie qui n’est censé connaître que le bunshin et la transposition… De plus même si on peut choisir l’option marionnette, comment pouvait elle contrôler plus d’un pantin de sa création en plus… tous ceci était étrange, m’y connaissant un minimum sur le sujet, je savais qu’un juunin pouvais maitriser trois pantins au maximum et c’était le compte qu’elle avait mis devant moi.

Comment pouvait elle contrôler aussi facilement autant de pantins pour une genin ? il fallait que je trouve une réponse car la combattre tout en sachant que ce problème pouvait en cacher un autre était trop risquer, du moins pour le moment, je devais d’abord savoir pourquoi elle pouvait avoir autant de pouvoir…
En même temps que ma réflexion, la genin passa à l’action en m’encerclant avec ses pantins, donc le gros en était un aussi. Je devais faire marcher ma matière grise pour trouver un moyen de la déstabiliser car de un je ne peux pas me permettre d’utiliser mes techniques dans le village, un pas de travers et je démolis un truc… Donc je tourna mon regard et je lâcha une petite phrase

- Bon le gros doit être un pantin de défense et vu sa taille et sa corpulence qui lui vaut le surnom de « gros » il doit aussi permettre de capturer ses ennemies, Les jumelles sont des pantins offensif vu leur corps svelte et leur légèreté. En sachant que tu es censé être une genin la maîtrise de ses trois pantins est censé être impossible pour toi donc tu n’es pas une genin, tu es d’un rang plus élevé… Juunin au minimum mais tu te fais passer une genin pour je ne sais qu’elle raison, en plus le kage ne doit pas être au courant sinon il ne t’aurai pas confier à un juunin en tant qu’élève donc tu dois cacher quelques choses…

J’espère que mon hypothèse était vraie et elle devait sûrement l’être car cela expliquerait par A + B le niveau de cette sois disant genin et pour le combat le faire contre quelqu’un de mon niveau voir plus dans le village du côté civil était une tr ès mauvaise idée donc je mis ma fierté de côté afin de ne pas me faire allumer par le Kage une fois de plus… Donc je devais trouver un moyen de la décourager ou au pire de ne rien faire, donc j’ai décidé de faire ce que je faisait de mieux : flemmarder.
Je posa mon cul par terre je me mit en tailleur je plaça mes trois sabres en appui sur mon épaules et sur le sol et j’attendit...

ps : c'est pas top mais j'ai fais ce que j'ai pu

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Dolly Wax

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- Pfff, il est pas drôle. Dis-je en soupirant.

R ien, absolument rien à faire avec lui. A plusieurs reprises j'avais essayé de le faire rentrer dans mon jeu, mais peut importe la situation dans laquelle il était par ma faute il réagissait de la même manière, comme si rien ne l'intéressait. J'avais commencé en testant sa charité, il avait raté l'épreuve, préférant faignanter plutôt qu'aider un homme en difficulté, ensuite je le tourne au ridicule sur la place public, les gens avaient rigolé de bon cœur de lui, toujours rien, et là je l'humilie verbalement et il n'a pas réagi. C'était vraiment troublant, cet homme, celui qu'on m'avait attribué comme senseï était un homme bien étrange, même ma provocation au combat n'a pas marché, impossible de le discerner, quel est donc son pêché mignon, la petite chose faisant que je pourrais en avoir un contrôle totale.

T out en maintenant les trois poupées autours de celui qui adviendrait mon maître officiel dans le village, celui-là même qui avait refusé mon invitation au combat, je descendais alors du toit qui me servais de perchoir. Une main contrôlant les poupées, l'autre tenant ma sucette, je m'approchais légèrement de lui, de façon à me retrouver juste à côté de El Padre. Pendant ce temps là, j'avais approché les deux jumelles, de façon à réduire sa marche de manœuvre. Démotivée je l'observais, d'un regard totalement blasée. Me demandant ce que je pourrais faire, enfin avant tout il fallait que je réponde à sa question, lui me traitant comme une sorte d'espionne, sous prétexte que je n'avais pas le niveau d'une genin classique. Au moins avec ses dernières paroles, j'avais enfin cernée un trait de son caractère, voir deux, le premier étant qu'il était parano, voyant le mal partout et le second, il ne croyait pas à la jeunesse de Suna, car même si pour mon cas je n'étais en effet pas qui je prétendais être, je restais une ninja de génie, ayant depuis toujours une maîtrise parfaite de l'art du kugutsu des poupées.

- Senseï.... senseï vous m'accusez de quoi exactement en insinuant que je ne suis pas une genin de notre village, car je suis plus forte que la moyenne ? Je vous connais peu, mais je commence à me dire que vous avez une tendance à voir le mal partout. Pour vous répondre, je suis Dolly Wax, pratiquante de l'art du kugutsu sur des poupées au lieu de marionnettes. Genin du village de Suna, mais pas n'importe quelle genin, d'après mes anciens professeurs je serais je cite « un génie du kugutsu ». C'est justement parce qu'il est au courant de ça que Kazekage-sama a décidé de me donner un professeur particulier. Il pensait que si je suivais un enseignement sans équipier, je pourrais devenir encore plus forte, et ainsi briller au prochaine examen chuunin. Il voulait faire de moi la gloire de Suna. Tout simplement....

I l n'avait aucune raison de ne pas croire ma version des faits, pour la bonne raison que malgré mon grand âge je possédais les traits d'une gamine de treize ans, de plus j'avais révélée mes capacités étape par étape, de façon à ne pas être trop puissante d'un coup. Mes senseï avaient depuis mon entrée à l'académie de Suna toujours pensaient que j'étais une élève unique, l'avenir de Suna, l'avenir du kugutsu, il ignorait juste totalement c'est que j'étais plutôt du niveau d'un membre des forces spéciales. Depuis maintenant cinquante-ans je jouais le rôle de l'étudiante parfaite dans les divers villages de ce monde, ce ne serait pas maintenant qu'un simple juunin découvrirait mon identité, enfin s'il s'était le cas, je le tuerais personne n'irait interroger une genin du village même si elle est considéré comme un génie.

A ttendant la réponse de mon senseï, je posais alors ma main sur le sceau permettant de ranger El Padre. Il disparaissait alors d'un coup, comme par évaporation. D'un bond chacune, les deux jumelles se rapprochaient alors de moi, j'effectuais la même manœuvre qu'avec ma grosse poupée. Il n'y avait maintenant plus que mon senseï et moi. Je sortais alors une sucette de ma poche, la même que la mienne puis je le tendais à mon professeur.

- Vous en voulez une ?

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J’étais assis sur le sol à attendre que ma future disciple, silencieux, n’ayant cédé à aucune distraction venant de l’imagination débordante de son prochain élève qui serait d’ailleurs le premier et car cela ne faisait pas longtemps que j’étais Juunin… Je releva la tête en entendant quelqu’un se déplaçant depuis les toits, je la vis qui descendait avec d’une main les trois marionnettes et d’une autre une sucette. C’était maintenant sur, elle n’était pas une génin manier d’une seule main trois pantin n’était pas la chose la plus aisée à faire…
Je la regarda s’approcher légèrement de moi, et me parler d’une chose qui ne m’intéressait pas plus que ça mais qui devenait intéressant quand elle ajouta à la conversation que ses professeurs à l’académie l’avait donc traité comme un « génie du Kugutsu ». C’était trop..trop pour être vrai, mon élève me cachaient quelques choses mais s’obstinait à ne rien vouloir me dire.
Donc elle voulait se considérer comme une gloire pour notre village,j’avais envie de lui rabattre son clapet mais je n’ai avait pas la force et la volonté vu l’infligeante personnalité qui se trouvait en face de moi. Elle me sortit un discours comme quoi c’était moi qui me faisait des idées… Je préférais hoché la tête sans rien dire, c’était beaucoup plus facile que de commencer un débat sans fin dans lequel aucun trouvera raison.
Mais comme elle avait eu la politesse de se présenter à moi, j’allais faire de même enfin j’allais essayer sans paraître barbé de son discours. Je posa mes mains sur mes genoux, me releva tout en empoignant mes trois sabres.

- Moi je suis Akiro et je me bats avec trois sabres, c’est tout ce que tu as à savoir pour le moment… et Non je ne suis pas parano…

Juste avant ma petite présentation, je la regardai faire disparaître, dans un nuage de fumée, ses marionnettes… Le gros fut le premier suivi par les jumelles. Par la suite, elle trifouilla dans sa poche et en sortit une sucette qu’elle me proposa gentiment et que je refusa courtoisement, pour une fois…Bon les présentations étaient terminées, je pouvais enfin partir et me détendre un peu en m’allongeant quelque part d’autres, dans un endroit moins fréquenté…

- Sur-ce , tu me bip dès qu’on est convoqués… a plus.

Ps : très court mais je ne savais plus quoi dire