Au secoure ! mon jardin se sépare en deux ! [D]

Messages : 29 Date d'inscription : 16/08/2011 Localisation : Kiri

Toujours la tête dans le cul, je m'étais réveillé un peu plus dans la bonne humeur, ma mission précédent m'avait été d'un grand secoure, j'avais renoué avec mon passé et je crois que ça m'avait fait un énorme bien d'aller revoir mon ancien professeur . Cette fois- ci j'étais bel et bien décidé d'aider grandement mon pays, je marchais tranquillement devant le salon pour ainsi atteindre la porte de ma maison ; l'ouvrant une nouvelle fois l'image de mon village n'avait pas disparue du jour au lendemain. Je fis mon petit footing, mon petit échauffement avant de passer sérieusement à l'action . Arrivant encore une fois aux portes du palais, je ralentis mes pas aux différents tableaux de missions. Il n'y en avait de moins en moins puisqu'il fallait dire que j'étais assez actif dans ce genre de missions. Une requête m'intéressa grandement quand je vus que l'île aller se séparer en quelques morceaux, sur cette partie du territoire se trouvait une forte partie de la basse population. Il était de mon devoir de protéger tous ces gens et de ne pas les laisser disparaitre du pays. Je pris le parchemin des missions, l'emmenant avec moi et le rangeant délicatement dans ma poche droite. J'étais du genre fainéant, barbant et surtout débile, mais il y avait dés moment ou je ne pouvais pas laisser les gens dans la merde, c'était depuis le jour ou je prêtai serment de mon grade que je compris que je ne devais pas laisser une personne dans les ennuies et en sauver une autre, je devais être égalitaire même si ça me dégoûtait de servir de riches personnes. Sautant une nouvelle fois de toit en toit, j'apercevais le bout d'île qui était menacée, il y avait un énorme rassemblement de personnes et des gardes boucler soigneusement le secteur : m'approchant des deux gardes qui étaient placés devant moi, l'un d'eux me barra la route, m'interdisant de passer et de sauver les quelques civils qui restaient, d'une voix robotique il m'expliqua son raisonnement à la con : << Je suis désolés ninja, la zone est bouclée, vous ne pouvez pas entrer, il est trop dangereux d'aller sur cette île, surtout pour un enfant de votre carrure ! >> ; cet abruti me traitait carrément de minus alors que je ne lui avais rien demandé, j'étais énervé voir même humilié de voir que quelqu'un laisse un village annexe couler par peur. L'attrapant par le col, je lui répondis : << Putain ne te fous pas de moi... Tu veux dire que tu vas laisser tomber de simples civils qui vous attendes pour les sauver ? Si c'est ça être un 'Garde' je préfère mille fois être un moins que rien qui risque sa vie pour sauver celles des autres ! Je changerais ça ! Je virais les bons à rien et je prendrais des hommes de confiances à ma disposition ! Croyez - moi ! >> C'était d'un bond immense que je quittai la scène, sans vraiment m'en rendre compte je venais de lui annoncer mes plans les plus secrets, chose qui fera de moi, le suspect numéro un au niveau de l'infidélité des ninjas de Kiri .

J’atterris bien vite sur l'île qui allait disparaitre de la carte de Kiri, il y avait de nombreuses personnes désemparés, d'autres c'étaient suicidés en apprenant qu'ils n'avaient plus de maisons. Alors que j'affichais un regard des plus tristes, j'entendis un cri strident, c'était les sanglots d'une petite fille qui peinait à sortir de sa maison assez bien amoché . D'un seul coup la bâtisse s'effondra, me jetant dans les ruines pour sauver la jeune fille, je la retirai des décombres pour la placer dans une zone plus en sécurité, elle respirait encore et je me doutais bien qu'elle serait sur pied d'ici quelques jours. Je regardai tout autour et je ne voyais que désolation, sautant pour rechercher les quelques blessés qu'il y avait dans la poussière, la mission se passa comme on me l'avait dit, un traumatisme qui touche les sentiments, on cauchemarde ensuite de cette situation pour ensuite se la garder dans une petite partie de notre mémoire. J'évacuai alors les survivant dans la zone dît sûr, les gardes me regardaient avec honte et surtout avec honneur. Je les regardai alors avec un air provocateur et je rétorquai à leurs précédents gestes : << C'est ça d'être un vainqueur, on n'ignore pas son prochain on essaye de le comprendre et si ce dernier se trouve dangereux on le garde sous la main et on le manipule pour ensuite l’écraser ! >>

Après s'être fait remarqué, il n'était pas difficile de parler de moi dans les casernes, 'Tu as vu le petit gars qui a sauvé le petit quartier en danger ? ', 'J'ai entendu dire qu'il avait désobéit à un garde trop froussard pour y aller et qu'il avait pratiquement sacrifié sa vie pour ne pas que les habitants meurent là-bas ?'. Ce qui n'était pas à mon avantage par contre, c'était que j'avais un petit peu (Et même un petit peu trop) ouvert ma gueule lors de ma soudaine et minime rébellion ; je lui avais tout avoué, mes projets qui semblaient fous pour un jeune apprenti ninja, mon but et même, si on était pas trop con, ma proie . Ce fut d'une surprise assez délicate que je découvris les forces spéciales devant mes portes, ils voulaient en savoir plus sur moi et je ne répondis que par des excuses minables du genre : << Je n'ai dit ça que sur le coup de la colère, mon rêve est tout autre, je ne suis pas du genre à trahir mon pays. Je suis un patriote et j'aime Kiri no Kuni >>, après ses phrases, on ne put dire qu'il croyait à mes mensonges, mais on pouvait dire qu'il ne pouvait pas rester plus longtemps chez moi, refermant la porte, soufflant un bon coup, je me demandais bien si je ne m'étais pas trahit tout seul, cependant : j'étais Genin et tout ninja de hauts rangs me sous-estimaient ; quelle journée de merdes !