Au détour d'une Finale [Avec Mello] Public autorisé sous demande xD

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▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬TOURNAMENT▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

« -Creuse un tunnel, creuse un tunnel à l’ infini, un tunnel ou tu vis ta vie~♪ » Cette chanson ? Oh oui, c’était bien Araki chantonnait de sa petits vois juvénile, enfin, pour un adulte ayant mué ; C’était ce à quoi elle pouvait ce rapprochai. Enfin bref, c’était donc, par une belle matinée d’automne, alors qu’il allait et venait, guidé par son somptueux sens de l’orientation, tournant en rond sur la même colline dessinée d’une quinzaine de rizières. Comme tous le paysage ici, et la saison présente ne changeais rien à cela, bien que les rares arbres fussent aux teintes orangées symptomatique de cette merveilleuse saison, ils étaient trop nombreux dans ce paysage refais par la main de l’homme en quasi-entièreté. Le soleil tapait assez fort, un bon trente, trente-cinq degré, adoucit par une brise assez agréable, loin d‘être étouffante. Bref, c’était par ce beau début de journée qu’Araki ce promenai aux alentours du petit village d’Akashiminotakimururutakido. Un village bien sympathique ou il avait trouvé pour un temps refuge. Après ca perte de mémoire, et ca recherche folle de l’image de cette jeune femme qu’ils avaient encore en mémoire ; Un pause ne lui faisait pas de mal. Bien qu’il ce sentais complètement déstabilisé en présence d’autres gens. Voilà, voilà la raison de sa promenade. Sans ce rendre compte qu’il tournait en rond ; trop lancé dans sa merveilleuse chanson qu’il avait entendu chantée par un groupe d’aventurier en pause dans la même auberge que lui. Fantastique mélodie sur les tunnels, certainement des nains, ou des cousins proche ! Hrem… Bref. Sortit de ses pensées, Araki ce stoppa : une grosse motte de terre venais de lui atterrir en pleine face. Le ramenant à la réalité ainsi qu’à ses obligations. S’il avait la chance d‘avoir une chambre et les repas de payer, c’est qu’un homme du village le sponsorisai pour un tournoi ; Organisé par le propriétaire de l’auberge voisine et rivale. Oui, aujourd’hui était la finale, alors que tous les autres combats avaient eu lieu la veille ainsi que l’avant-veille. En clair, il y avait un combat par jour seulement. Et c’était déjà beaucoup trop. Le jeune argenté pausa doucement sa main sur son avant bras droit, une douleur étrange le tiraillait presque en permanence. Les combats n’y avaient rien arrangé. Et ses yeux semblaient le lâcher depuis hier par moments. En avait-il connaissance avant ca perte de mémoire ou bien n’était-ce qu’un symptôme de celle-ci ? Il haussa doucement les épaules, déviant de son avant bras douloureux, la terre emplâtrée dans sa figure. Le fermier s’excusai déjà, Araki lui prit un tissu qu’il avais autour d’une de ses mains pour pousser son espèce de charrue a rizière et s’essuya, un large sourire au visage : « -Ce n’est rien, vous travaillai et je flâne, je devrais vous remercier de me remettre dans le droit chemin, Monsieur. »

De retour au village après plus d’une heure de marche à aller dans tous les sens, il parvint au village, en petite foulée. C’est qu’il n’était pas question de rater sa finale, après une entame si difficile, il ce devais d’être là. Sa tenue n’était pas très adéquate pour son style de combat, bien que son haut fût un débardeur assez serré, la petite veste par-dessus n’allait pas du tout. Il la retira donc, aussi, il retira son pantalon ridicule. Comment pouvait-il avoir pareil gout avant son amnésie. Pantalon serré en haut et large en bas… Minable. Surtout qu’il était plutôt musclé, son corps bien dessiné était fait de muscles secs et des vêtements serrer là-dessus… Ca fait moche ! Son regard porta de droite a gauche, de haut en bas. Il tapa alors du poing sur la porte de la commode : Et oui, notre jeune homme n’avait qu’un bas. Il remit donc ce pantalon merdique, il e le trimballerai, pas de sous pour en acheter d’autres. Rhabillé il enfila ses sandales de bois lui faisans gagner presque cinq centimètres, dépassant de peu les 1metre 80 de ce même fait. Palliant au défaut qu’il avait constaté le premier jour face à un colosse de deux mètres alors qu’il avait décidé de combattre pied nus. Il tapa deux fois ses mains l’une dans l’autre et entame de trottiner sur place, sa série d’échauffement était entamée. Le combat avait était rude, la puissance brute, l’allonge était à l’avantage dans ce premier combat. Araki par quelques fantastiques coups était tout de même venu à bout de son adversaire, imprimant le fait que sa technique est a condition physique étaient bien meilleure. Son échauffement ce termina assez rapidement, l’un des poings fermer, l’autre main ouverte, il adopta une posture de combat adéquat, et s’échauffa comme faire ce peux quant on à de quoi ne compter que sur le néant de son esprit. Son poing gauche perça l’air avec une brutalité rare. Ce coups avait assommé et presque tuer son second adversaire, celui de la veille. Un petit homme d’un mettre cinquante sur un quatre-vingt centimètres. Une boule de muscle. A croire que tous les forts étaient dans son groupe… Un combat bien difficile, trop bas, Araki devait viser non pas en face ni vers le haut mais vers son bassin pour atteindre la tête de l’adversaire. Bref, il avait faillit perdre et était tombé plus d’une fois au sol avant de réussir à toucher cet homme ; Un coup, un seul. Marquant bien l’unicité en corps a corps dont il faisait preuve sans en avoir conscience, une pression de 1700 kilos vivait dans ce bras.

L’après midi approchait doucement, l’arène devait être le quart du village. Formant un énorme rectangle 10metres de larges tribunes comprises. Le terrain devait lui en faire sept ou huit. Bien que rudimentaire, l’affaire était assez grandiose. Un ou deux arbres sur le terrain légèrement pentus. Oui, voilà que l’ex kirijin pénétrai dans l’arène et… Comme s’il avait toujours connus cela, il leva ses bras en l’air. Un Katana flottait sur son flanc, l’interdiction formelle d’utiliser n’interdisait pas de porter. Et le contact occasionnel de cette arme relier a sa ceinture par une petite chaine. Allant dans le vide permis par la chainette, semblait, d’une manière, le rassurer. Signe de quelque chose dont il en parvenait pas a identifier les sources ni même les finalités. La petite foule, qui était composée de pas mal de gens de ce village ainsi que de villages alentours semblât ce laisser envahis par le petit mouvement de celui que l’on disait favoris : Uniquement par sa victoire de la veille, bien que difficile, elle n’en était pas moins historique. Sa vision ce troubla légèrement alors que la clameur grandit. Un juron sortit a mit son de sa bouche. Son challenger ne tarda pas et les deux jeunes personnes s’approchèrent, pour rejoindre le fils de l’organisateur qui servait d’arbitre. Vêtu de haillons et mâchouillant un bout de pain sec, il les attendait, et une fois a portée, répéta quelques règles, leur demandant de ce salué. Biensur, notre ancien épéiste n’écouta pas les règles qu’ils avaient déjà entendues par deux fois, contemplant de bas en haut son adversaire. Plus jeune peut-être. Cela importait peu. Il ne s’arrêta pas sur l’œil absent de celui-ci. Chaque différence négative peut être palliée par une autre. Déjà sur la pointe des pieds, il ce posa de mi-face a son adversaire de sorte à n’opposer qu’une très faible surface de frappe, Il leva ses deux poings et entama de bougé doucement sur ses appuis et salua juste d’un mouvement de tête son adversaire. Quant l’arbitre dit signe qu’ils pouvaient combattre tout en reculant lui-même ; Sans perdre sa garde, Araki envoya une série de Jabs sur son adversaire, des coups rapides et direct du gauche, son bars le plus en avant sur sa posture. Ainsi, il avais décidé d’observer comment son adversaire était capable de réagir pour décortiquer son style le temps qu’il ne trouve une solution et, s’il n’en était pas capable, de l’abattre a petit feu sans trop ce fouler.

Jab ~ Un coups, permettant de tenir a distance et de ce créer des ouvertures, permettant de gêner l’adversaire dans chacune de ses démarches au corps a corps, le coup étant trop rapide pour être esquivé (a cause de l’avance du bras), visant la tête. L’implication moyenne de puissance dans le coups permet une répétition constante de celui-ci. il interromps chaque démarche de mouvement vers l’avant ou sur place. C’est un direct qui dans le cas d’Araki fait plus mal, parce qu’il est en posture de droitier, alors qu’il est gaucher, du coup, c’est son bras principal qui frappe et ce, grâce à l’ambidexie.

©Encodage et écriture by Araki. Source du code, remerciement à Trafalgar Law.

La foule faisait une véritable ovation. Oui elle hurlait, son engouement pour ce qui allait se passer était bien visible. Moi au milieu de la zone de combat je.... Attendez vous quoi ? Comment je me retrouve à faire un combat vous dîtes ? Ahh oui c'est vrai que j'ai pas commencé mon histoire du début. Vous voulez vraiment tout savoir ? Bon ok mais c'est bien parce que c'est vous. Ok retour en arrière de deux jours dans le passé.

Je revenais d'une mission au pays des rizières, enfin plus précisément je venais d'apporter un paquet d'une importance minime à un marchand. D'ailleurs je me demande bien pourquoi on m'a fait faire cette mission grotesque. Enfin est-il que je me trouvais sur les chemins de ce pays. Tout en marchant j'admirais le paysage, marche qui était d'ailleurs très agréable grâce à la petite brise qui caressait mon visage. De chaque côté du sentier où je me trouvais s'étendaient à pertes de vue des rizières. Elles formaient des carrés d'eaux tous identiques et se reproduisant à l'infini. J'avais l'impression qu'ici on ne pouvait pas faire une escale sans trouver au moins une de ces cultures. Et je n'avais pas faux, il était en fait difficile d'apercevoir des arbres ou tout autre type de végétation. L'homme avait presque tout détruit pour que l'agriculture prospère. Les rares forêts que j'ai pus voir n'étaient pas immenses. Mais en même temps je comprends bien pourquoi les gens ici apportent une telle importance à l'agriculture. C'est un petit pays dans l'ensemble plutôt pauvre. Ils dépendent donc du riz qu'ils produisent ici car ils ne peuvent pas en acheter. C'est triste je trouve...

Ma mission avait eu lieu très loin dans le pays des rizières. Enfin par très loin je veux dire que ce fut bien évidement dans la ville la plus éloignée de mon village. Et lors de mon retour je commençais à fatiguer quelque peu. J'eu donc envie de faire une pause. Et je fis un arrêt dans la première ville que je trouvai. La dite ville se nommait: Akashiminotakimururutakido. Alors oui ce nom est horriblement long et difficile à prononcer ou même retenir. Mais on ne va pas extrapoler dessus ou alors on n’a vraiment pas fini. Ce village n'était pas très grand, la grand place qui elle même n'était pas grande le représentait presque dans sa totalité. Mais voilà je n'avais pas beaucoup d'argent, même trop peu, mon salaire n'étant pas encore tombé. Je me retrouvais donc aussi riche qu'un mendiant. Et pour me loger je compris que ça allait être difficile. Ici se trouvaient deux uniques auberges. L'une semblait bien plus luxueuse et confortable que l'autre. Je partis me renseigner dans celle qui semblait plus agréable et je tombai sur un panneau devant la porte:

" Oyez, oyez. L'auberge du Riz maison organise un tournoi. Huit places sont disponibles. Le gagnant remportera une nuit offerte dans la plus belle chambre ainsi qu'un délicieux repas. N'ayez de crainte et venez nous montrer vôtre force. "

Ainsi donc un tournoi ? C'était l'occasion de remportez un bon prix et de passer la nuit dans cette belle auberge. Je pénétrai donc à l'intérieur de la bâtisse et allai au bar pour me renseigner sur le tournoi. J'appris qu'aujourd'hui se passaient les quarts de finales. Demain les demi-finales et enfin dans deux jours la finale elle même. J'ai alors demandé s'il m'était possible de rejoindre ce tournoi et par une chance il reste une dernière place de libre. C'est alors que j'ai compris que je devais bien me loger pendant ces deux jours en questions.
De fils en aiguilles, un commerçant de la ville qui se trouvait là a eu l'idée de me sponsorisé pour le tournoi car c'était un événement clés du village, le grand évènement même. Il me proposa de me faire dormir à l'arrière de sa boutique et de me donner de quoi manger. J'ai alors accepté son offre.

Le premier jour je me suis retrouvé contre un adversaire qui tout comme moi avait eu choisit de se battre avec une épée en bois fournie par l’auberge. Etant samurai et lui visiblement pas, le combat n’a pas été difficile du tout. Il a d’abord tenté une attaque horizontale que j’ai parée aisément. Ensuite il a voulu me mettre un coup à la tête, de nouveau mon épée a intercepté la sienne dans un bruit de bois claquant. En effectuant cette attaque il venait de totalement se mettre à découvert et mon épée se trouvait en position idéale pour lui mettre un coup à mon tour. J’ai donc fais comme lui en dirigeant mon épée vers sa tête. Il n’a pas été capable d’esquiver et suite au coup il a été déstabilisé. J’en ai profité pour effectuer un enchainement de coups successivement à la tête et aux jambes pour le faire tomber et l’étourdir. Ce fut chose faite car il se retrouva devant moi à genoux et l’air bien sonné. J’ai alors levé mon bas et l’ai abattu sur son dos, le mettant hors d’état de combattre.

Le jour d’après, je me suis retrouvé face à une masse de muscle sur pattes. Et là je peux vous dire que j’ai eu du mal à remporter le combat. J’en suis d’ailleurs sorti dans un triste état. Cette fois c’est moi qui ai lancé le premier assaut, rapidement j’ai dirigé mon arme vers la tête de l’ennemi. Mais lui il a simplement attrapé l’arme d’une main. Et de l’autre il m’a collé une droite mémorable. J’ai donc été propulsé à un mètre et de plus sans mon arme qu’il garda en main. Mon nez saignait mais je n’y prêtai pas attention, je ne pouvais pas me l’autoriser. Le géant a ensuite jeter l’arme loin sur sa droite. J’allais donc devoir me battre sans compter sur elle. J’ai analysé rapidement mon ennemi qui semblait avoir bien plus de mal à se mouvoir que moi. Il était plus fort, mais moi plus agile que lui. Par contre il ne semblait pas très futé, cause en est, sans même réfléchir il a courut vers moi en levant haut son bras pour préparer son attaque. Lorsqu’il ne fut qu’à deux mètre j’ai effectué une glissade vers l’avant et avec mes jambes et grâce à son élan j’ai pus le faire tomber au sol. Je me suis alors vite relevé et alors qu’il faisait de même j’ai sauté sur son dos et mis mes bras autour de son cou pour l’étouffer et le faire tomber dans l’inconscience. Le plan marchait bien et il commençait à faiblir. Mais il eut au final l’idée de sauter en arrière pour m’écraser contre le sol. La douleur fut cuisante et j’avais du mal à bouger. Mais lui de même semblait en bien mauvaise posture. Mais au final j’ai bien réussis à me relever, bien que ce fût avec mal. Lui toujours pas alors je me suis précipité vers mon épée en bois et je suis revenu vers l’adversaire qui venait tout juste de se relever. Mais il était sonné et ne parvint pas à me contrer une deuxième fois. Je suis donc arrivé à me qualifier pour la finale le lendemain.

J’ai passé une mauvaise nuit car ce géant de muscle m’avait bien amoché. Au réveil je sentais mon corps me dire qu’il n’était pas d’accord avec l’idée d’un autre combat. Mais je n’allais pas me défiler tout de même. Mon hôte m’a préparé un bon petit déjeuner pour que je sois plein de forces. Il était très content que je sois arrivé jusque là, ça allait lui faire une bonne publicité. Je me suis préparé à mon combat mentalement et physiquement et je suis ensuite parti pour la grande place où mon dernier combat m’attendait. J’avais un peu le trac, mon opposant était donné vainqueur. Apparemment son combat d’hier avait été très apprécié.

Nous en arrivons donc au départ. Je suis arrivé le premier dans l’arène et la foule n’a pas été très gentille avec moi. J’ai entendu quelques encouragements mais ils étaient à compter surs les doigts de la main et au sens propre. En revanche quand mon adversaire est apparut il y eu une véritable ovation du public. On peut dire qu’ils soutenaient vraiment leur favoris ceux là… Enfin bon de toute façon c’est le gagnant final qui méritera les applaudissements. L’homme devant moi ne semblait pas beaucoup plus vieux que moi, moins de dix ans en tout cas c’était certain. Mais ces cheveux blancs ne me permettaient pas de bien situer son âge. J’ai vus qu’il me regardait lui aussi, ce qui était logique. Mais lorsqu’il a aperçut ma grosse balafre et mon œil gauche manquant j’ai par réflexe mis une mèche pour cacher ça. Je n’aimais pas beaucoup que les gens regardent ça. Non seulement c’était moche mais c’était une marque laissée par les assassins de ma mère et je ne supportais pas cela.

L’arbitre nous fit alors signe de commencer et de suite mon adversaire se rua vers moi et effectua un premier jab. La vitesse de l’attaque et la surprise qu’il commence aussi tôt ne me permis pas d’éviter le coup que je pris directement dans mon nez meurtrie de la veille et qui se remit à saigner. Mon opposant effectua ensuite un deuxième jab et sous le coup de la douleur du premier je ne pus encore une fois pas esquiver l’attaque. Mais lorsqu’il tenta d’en mettre un troisième j’ai cette fois ci réussis à sauter en arrière pour ne pas subir l’attaque. Et je pus voir qu’un quatrième jab arrivait. De nouveau j’ai sauté en arrière pour esquiver mais de plus j’ai envoyé mon épée de bois percuté le bras de l’homme pour le contrer et stoppé son assaut totalement. Mon épée sur son bras et lui prêt de moi. C’était l’occasion ou jamais de l’attaquer. Sans trop réfléchir j’ai retiré mon arme de son bras et j’ai foncé vers lui en attaquant avec mon épée tell une lance pour percuter son sternum et lui causer des problèmes pour respirer. Mais c’était une attaque risqué car non seulement je m’approchais dangereusement de lui, mais de plus attaquer de cette façon avec l’arme n’est pas ce qu’il y a de plus dur à contrer. En fait e comptais sur l’effet de surprise causé par mon contre de son dernier jab. Mais bien sûr rien ne me permettais d’être sûr de ce que je faisais. Seul l’avenir me le dirais….

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La Victoire au bout des Poings~☼

Le combat venait de commencer, le premier coup aussi, était lancé. S’engageant dans l’affrontement munis de prudence ainsi que d’une détermination étroitement lié. Son direct du gauche, toucha vivement son adversaire avant de revenir en place le plus naturellement possible. Un ou deux pas de coter durant tout le mouvement d’attaque, permirent au jeune homme de placer un second direct, un second Jab. Son challenger le prit, difficile de s’habituer aux jabs, en général, les très bons combattants s’en prennent au minimum trois ou quatre lorsque la vitesse et l’allonge adversaire est légèrement supérieure. Car, pour œil avisé, la toute légère différence été visible entre les deux jeunes gens. Si les deux avaient lancé le même coup au même moment, Araki aurait touché but alors que son adversaire n’aurais fait que l’effleuré. Enfin, là n’était pas l’important, il avait exécuté trois pas de côté, suivant le Legé mouvement de recul du aux coups, de la part de son adversaire : S’il était si bon, il ne tarderait pas à tenter quelque chose. S’il était mauvais, alors Araki pouvais dormir sur ses deux oreilles. Son troisième coup partit alors qu’il exécutait déjà un départ de mouvement pour ce déplacé, suivre son adversaire. Ayant l’initiative, même en cas de contre, il gardait un avantage certain : A moins d’être repoussé vers l’arrière et prit de surprise, ou bien de glisser. Son visage, jusqu’alors inexpressif, ce para d’un Legé sourire, presque narquois. Il n’en était rien pourtant : Le fait étai, qu’Araki avait placé une demi tranche arrondie de plastique dans sa bouche pour amortir les coups et assurer ses dents de sortir indemne d’un affrontement de puissance ou d’une mauvaise chute. Son pas ce stoppa à l’ instant où il s’arrêta dans le vide, Cinq ? Peut-être six centimètres d’écart du visage de son adversaire qui avait usé d’un petit bond rapide et désespérer pour éviter l’attaque. La seule arme utile contre le jab, un grand saut nécessitant trop de préparation. Instinctivement ses pieds ce déplacèrent, un pas combla l’écart, le bras était déjà de nouveau armé, le quatrième jab partait : Il ne devait pas lacer la pression, ni montrer un quelconque signe de surprise. Maintenant au moins, il savait à quoi s‘en tenir, au quatrième, il ce passerai quelque-chose. L’arme de bois percuta sur l’angle, le bras d’attaque de l’ancien épéiste, le repoussant sur le coter mais sans le faire stopper son avancée. Le bras ne continua pas son mouvement ; Signe qu’il s’attendait à une réaction. De plus, Araki n’avais rien senti.

Perdant juste son sourire, pouvant donner l’illusion d’une quelconque douleur physique. Chose qu’il ne connaissait réellement que dans ses souvenirs. Le mouvement perturbé, il ramena son bras vers lui exécutant simultanément un mouvement de recul : Amenant son pied gauche vers l’arrière et aplatissant on pied droit au sol, légèrement tourné vers l’intérieur. Son adversaire ? Il n’y avait fait que vite fait attention, la logique était qu’il ce précipiterai s’il voulait reprendre l’avantage, l’autre point de logique était qu’il utiliserait son arme pour combler leur centimètre d’allonge de différence et le combler. S’il agissait ainsi : Il ce perdais lui-même : l’allonge n’est utile qu’à mi distance, en ca rapprochant alors qu’ils étaient déjà à mit distance, il perdait toute liberté d’action. Et Araki misa là-dessus, sans réellement y réfléchir. Appelez ca l’instinct, ou bien, la chance. Son adversaire c’était propulser vers lui, l’arme au poing pour combler leur différence. Le lancement des attaques simultané, ne pouvais aboutir autrement. Son gauche, car c’était bien ce bras qu’il avait envoyé tel une arme nucléaire, partit dans un angle plus long mais moins profond, à mi chemin entre le direct et le crochet, sa trajectoire était donc rapide mais aussi de sorte a lui faire prendre un minimum de puissance avant impact. Le point visé était clair, le côté inférieur de la mâchoire². Oui, l’issue était écrite, les deux combattants ce touchèrent simultanément. 1700 de pression… Son adversaire allait-il décoller du sol ? Et s’écrouler en suite ? Puisque le coup allait très légèrement du bas vers le haut, c’était une possibilité, la seconde, était qu’il ne vacille sur le côté et non porté par ses jambes, ne s’écroule. Et si ses jambes ne lui revenez pas assez vite, il gagnerait grâce au décompte. Ce qu’il avait prévu, fut perturbé, il n’avait pas sentit le coup au niveau de son plexus, une zone bien trop souvent frappée par ailleurs. Il remarqua juste que son souffle c’était coupé et son corps avait était légèrement retenu dans son mouvement de rotation finale. Employant une légère rotation inverse, il fit voler son autre poing, tout en ramenant le premier vers sa position de garde. En fait, il était peu probable qu’il puisse faire quoi que ce soit, hormis reculer, ou tomber, ou bien subir un second coup qui le conduirait à subir un troisième, puis un quatrième. Jusqu'à ce qu’il ne s’écroule, soit par ses directs et crochets, soit par un quelconque autre coup profitant de son étourdissement. Voilà, la seule pensée qu’eu Araki, ne prêtant aucune attention à son manque de souffle qui, dans un enchainement, le pousserai à prendre ses distances avant d’en avoir terminé. Et même peut-être avant le troisième coup.

Son adversaire ne décolla pas autre chose que ses talons du sol, propulser sur le côté droit, le poing droit du Pugiliste heurta la pommette de son adversaire déjà balancé vers son poing. Le re-balancant de l’autre côté. Quelque chose passa dans le regard d’Araki, accompagné d’une pensée furtive : « Si je continue, je le tue. » Et plutôt que de continuer, il s’avança. Plus de jambe, son adversaire ne pouvait rien faire. Il voulait, le faire vomir, le faire tomber, sans trop l’amocher. Il s’avança donc vivement, sur l’impulsion de la pointe de ses pieds, frappa deux fois de son gauche dans l’estomac de son adversaire pour l’obliger à s’abaisser vers l’avant et terminer d’un coup de bas en haut, un splendide uppercut de corps à corps le souleva alors qu’il reculait d’un pas simultanément, pour faire voler un dernier coup dans la figure : un somptueux mélange entre l’uppercut et le direct, de son poing principal : le gauche. En pleine figure de son adversaire. Il grogna alors, comme porter par la puissance de son ‘arme’ : « Fa-l-con Punch !! ». Un craquement sinistre retentit, provoquant la stupeur dans les tribunes, Araki fis légèrement tourné son poing sur le visage de son adversaire en suivant les premiers dixième de secondes de son envol… Pour le faire tournoyer sur lui-même et accentuer les dégâts de sa chute. Il reprit sa garde rapidement et sautilla sur place, gardant son jeu de jambe intuitif : Il avait gagné, c’était maintenant certain. Lorsque son adversaire toucha avec force le sol, il jeta ses bras vers le ciel ; Appelant la foule à scandé son nom, enfin, le surnom qu’on lui avait donné, puisqu’il était bien incapable de ce souvenir de comment il s’appelait.

² Percuter le bas de la mâchoire pour quelle ne cogne la partie supérieur permet de provoquer un choc au cerveau, paralysant les jambes quelques secondes.

D'une certaine façon on peut dire que j'ai réussis mon attaque. Et en même temps j'ai envie de dire que non. Je suis mitigé... Bon disons un peu les deux. Elle a réussis car j'ai touché mon adversaire, et au sternum exactement comme je le voulais quoi. Donc c'est bien quelque part une réussite, j'ai fais ce que je voulais faire. Donc la vous allez vous dire bravo Mello comment tu assures trop t'es un tueur. Mais en fait y'a le côté négatif que j'ai oublié de vous raconter. Bon, je me lance, lorsque j'ai attaqué, mon adversaire a avancé vers moi lui aussi. Lorsque j'ai réussi à le toucher avec mon arme, lui il m'a collé un coup de poing dans le côté inférieur droit de la mâchoire. Ce genre de coup croyez moi sur parole, ça sonne. Et j'ai même senti que mes jambes me lâchaient. J'aurais dû tomber en fait, mais il ne m'en a pas laissé le bonheur, si jamais il est possible de considérer cela comme un bonheur. J'ai juste quelque peu été propulsé en l'air, mais le plus important est que j'ai été écarté vers la gauche à cause du coup de poing que j'avais reçu. A peine avais-je bougé dans ce sens que le poing droit de l'homme vint percuter la joue le plus proche. Il venait de jouer de la force de son premier coup pour en coller un deuxième tout aussi puissant. Mais ça ne s'arrêtait pas là malheureusement. Mon opposant avança vers moi sans que je n'arrive à reculer. J'étais trop sonné pour que mes jambes obéissent et me mettent à l'abri. Son bras gauche s'est armé et à frappé très rapidement deux fois de suite mon estomac avec une force incroyable. Le choc me fis perdre le souffle et j'eu l'envie de vomir sans pour autant le pouvoir. J'aurais tellement aimé que ce soit fini mais non pas encore. Le poing droit de l'adversaire effectua un uppercut pour me remettre droit et me sonner toujours plus. J'étais alors complètement incapable d'agir, et je sentais que le meilleur serait pour la fin. Et je ne me suis pas trompé. L'homme aux cheveux blancs fit une dernière attaque; une sorte de coup direct qui se logea en plein milieu de mon visage dans un bruit d'os qui craque.

Tout se passa alors au ralenti pour moi. Une douleur horrible m'envahit rapidement. La force du coup commença à me faire décoller. Et je sentis le poing tourner, ce qui eut pour effet de me faire tournoyer dans les airs. Me faisant donc perdre tout repère, et m’assurant une chute bien plus douloureuse. J’ai volé sur environ deux ou trois mètres et suis retombé sur le dos, puis avec la force de ma projection je me suis finalement retrouvé face contre terre. La foule se mit alors à applaudir bruyamment. Et l’arbitre commença son décompte. Mais je n’y prêtai guère attention. Non j’avais bien trop mal, je n’en pouvais plus. Ma tête me faisait horriblement souffrir, mon nez saignait abondamment et de ma bouche coulait aussi du sang. Je tentai de me relever en poussant sur mes bras come si j’effectuai des pompes. Mais c’était comme faire des pompes avec une maison sur le dos. Je n’y parvenais pas. L’arbitre arriva à cinq, encore cinq autres et j’avais perdu… Soudain ma douleur à l’estomac devint plus forte que celle de mon crâne et sans pouvoir m’en empêcher j’ai vomis. Et vomir avec cette douleur fut bien plus horrible qu’en temps normal. C’était juste abominable. Mais étrangement une fois cela fait j’eu moins de mal à pousser sur mes bras pour tenter de me relever. L’arbitre arriva à sept, plus que trois et j’étais perdant. Mais je ne voulais pas. Je parvins à me mettre sur les genoux lorsque huit fut prononcé. J’ai saisis alors mon épée qui trainait au sol et j’ai vu mon opposant avec les bras en l’air, comme s’il croyait avoir déjà gagné. Mais il sembla perdre de sa joie en me voyant à genoux. Et dans un ultime effort j’ai poussé sur me jambes pour me relever alors que neuf sonnait.

Je venais tout juste d’éviter la disqualification, mais ça s’était vraiment joué à un cheveu. Ma vue se troublai, j’étais encore sous l’emprise des coups à la mâchoire, bien que ça se calmait légèrement. Mon adversaire était bien trop fort. Il me dominait au corps à corps, je n’avais peut lui mettre qu’un coup, et en plus il ne semblait pas en avoir trop souffert. Tout en soufflant bruyamment, j’eu une idée. J’allais utiliser la fameuse technique que j’avais mise au point peu de temps auparavant. Ce serait la première fois qu’elle servirait en combat. Ma seule technique utilisant du chakra mais qui me serait fort utile dans ce cas là. J’étais à environ trois mètres de lui, sa force au corps à corps ne servait donc plus à rien du tout. Et ma technique, elle, pouvait me permettre de frapper en étant à cette distance. Je me mis à concentrer mon chakra dans mon épée de bois. Mon adversaire ne pouvait pas encore le voir bien sûr car je m’efforçais de confiné le plus possible mon chakra à l’intérieur du bois. Problème est que je risquais de détruire le bois trop fragile pour cette technique. Mais je n’avais pas vraiment le choix de toute façon. Après quelques secondes pendant lesquels je fis mine de ne presque pas tenir debout, mon jutsu était prêt. Sans crier gare j’ai levé l’arme en haut à droite de moi et en même temps que je libérais le chakra, je fis descendre l’arme en bas à droite. Le bois comme je le pensais n’y résista pas, mais la lame de chakra qui fonçait très rapidement sur mon ennemi n’était pas pour autant raté. Au contraire elle était parfaitement comme elle devait l’être et fonçait comme il le fallait sur l’homme. La surprise et la faible distance nous séparant devrait permettre à la lame de le toucher sans qu’il ne puisse esquiver. Mon attaque était exactement celle adéquate, pourvus qu’elle marche c’est tout ce que je voulais.