Transfère de prisonnier.

Post RP

Une lumière dorée, un souffle frais ; le soleil vient de se lever dans les montagnes éloignées de Kumo et le vent des monts apportait une douce fraicheur matinale. Le chant des volatiles résonnait à mes oreilles comme une simple mélodie apaisante. C’est alors en me frottant les cheveux pour rectifier la masse difforme que j’avais sur ma tête, que je me redressai et me levai. C’est alors en me tenant droit que mes yeux pouvaient alors contempler le paysage montagneux et dégagé qui me donnait une agréable vision du village caché des nuages. Ma maison n’était qu’une simple grotte perchée au cœur d’une falaise qui surplombe Kumo. A ce moment-là je marquai une pause et laissai mon regard se plonger dans l’horizon. A ce moment précis je sentais que rien n’était susceptible de pouvoir me freiner. L’impression d’être un oiseau en cage me heurtait de plein fouet en plein cœur. C’est alors en regardant au loin que je me convainquais que le chemin n’était jamais terminé et que temps que j’aurais des pieds rien ne pourrait m’empêcher d’avancer et de battre de mes propres ailes. Car au final la plus grande des vertus que je convoitais de tout mon cœur était pur et simplement ma propre liberté. Toute personne qui voudrait nuire à ma liberté deviendrait immédiatement à mes yeux l’équivalent d’un démon. C’est alors que je le pourchasserais, le traquerais sans relâche jusqu’à ce que par sa gorge fendu, ma liberté soit reconquit. Par le passé je n’étais au final qu’une simple machine, une arme de combat. Mon existence avait peu d’importance dans la mesure que j’accomplissais ce qu’autrui voyait comme mon devoir. Je me suis alors battue de tout mon possible pour me forger une identité ici à Kumo. Et c’est en me levant chaque matin en contemplant se paysage que je suis content de m’affirmer être un ninja libre du village caché des nuages. C’est alors comme chaque matin, sachant que le Raikage me préparé surement une mission de derrière son bureau, que je me préparais et me mettais en tenue de combat. Je m’équipai alors de tout mon équipement habituel. Celle-ci était plutôt hors du commun. Il est vrais que peu de ninja son autant habillé que moi. En effet j’étais revêtue de protège tibia et de protection d’avant-bras métallique. Mes gants étaient munis de plaque métallique sur le dessus. Je portais sur moi deux bracelets de métal assez lourd et un bouclier circulaire suspendait également dans mon dos. Puis comme à mon habitude je plaçai sur mon visage un masque de métal dont le rôle était de cacher mon identité. En effet c’est souvent à cause de mes origines, de mon sang, que ma vie a pendant longue failli être aliénée. Et ce masque que je portais sur mon visage était la meilleure défense que je pouvais faire pour sauvegarder ma liberté. Mais comme celui-ci ne peut suffire s’est également pour cette raison que deux épées finement forgé suspendaient à une chaine qui me servait de ceinture. Ceux-ci ont plutôt la forme de hachettes allongées avec à leur extrémité supérieur un pique tourné vers l’intérieur de l’arme rappelant la forme d’un piolet. Un trou en forme d’anneau était également percé au cœur de la lame aux dessus de la garde. Ces armes ont par moment été bien plus efficace que de simple mot. C’est parce que les gens ne peuvent pas toujours se comprendre et se respecter que nous ninjas sommes obligé de recourir au arme pour affirme le sens de notre existence. C’est alors en fixant soigneusement les deux épées à ma ceinture que je finis ma préparation en attente de la mission qui ne tarderai surement point. C’est alors dans un grand élan d’encouragement que je vis un aigle volé dans ma direction. Il s’agissait d’un rapace dont les équipes de transmission d’information se servait pour distribuer les ordres de mission aux ninjas situé un peu en retrait. C’est alors en le voyant se diriger vivement vers moi que je tendis la main droite pour que le volatile s’y perche. Il me suffisait à présent de retirer le parchemin qui était enroulé autour de sa patte. C’est alors plein d’enthousiasme que je déroulais le manuscrit afin de lire l’ordre de mission. C’est alors au fur et à mesure que mes yeux parcourais le papier que cette enthousiasme se ternis d’une lueur plus sombre. En effet c’est mission me lançait dans le chemin de mes origines. Il s’agissait d’un retour vers le village dont j’avais fuis tout ma vie. Mes pieds arpenteraient bientôt le sable sinueux du désert de Suna. Il fallait que j’escorte un prisonnier capturé par les forces de Kumo jusqu’au pays du sable. Il s’agit d’un criminel ayant commis de nombreux meurtre à Suna mais qui en l’occurrence n’a pas eu le temps de commettre le moindre délit sur notre territoire. Suna a alors fait la demande pour que le prisonnier soit transféré à leur autorité pour qu’il soit jugé pour ses crimes. Si le transfère aurait été refusé par Kumo cela aurait été purement et simplement un affront envers le village du sable. C’est alors pour préserver une paix fragile que Kumo s’est alors plié à la demande du Kazekage. Mais des conditions ont été apportées par notre village. En effet il était hors de question que des ninjas de Suna viennent infiltrer notre village pour aller récupérer le prisonnier. C’est alors ici que je rentrais en scène. En effet il fallait que j’escorte le prisonnier jusqu’au désert de Suna où un ninja de leur village viendrait prendre le relais. Reposer les pieds sur la terre de mon enfance m’enchantait point. Mais d’un autre coté refuser l’ordre de mission était juste pour moi un acte suicidaire. Et puis au final j’étais sans doute l’une des personnes de mon village le plus qualifié pour cette mission. Ayant passé toute mon enfance dans ce village, je connaissais tout le village comme ma poche. Il était alors temps que je me mets en route pour aller chercher mon coli. Je me penchais alors en avant pour me laisser plonger dans le vide. Le vent s’engouffra le sol de mon corps tandis que je concentrais attentivement mon chakra dans la paume de mes pieds. C’est alors que mes pieds s’agrippèrent grâce à l’adhérence qu’apportait mon chakra, à la paroi de la falaise. Il m’était maintenant possible de courir jusqu’en bas de la façade. C’est alors une fois arrivé en bas que je me dirigeais vers le village. J’arrivai ainsi jusqu’au centre de détention où je présentais mon ordre de mission. Aussitôt deux gardes me tournèrent le dos et s’engouffrèrent plus profondément dans la prison. C’est lors de leur retour que j’aperçu le prisonnier que j’allais devoir escorté jusqu’à Suna. (Garde) - Voici votre client, il n’a pas l’air en lui-même très dangereux mais prenez garde, il n’a pas cessé de nous menacer que ces amis viendrais bientôt à son secoure et que plus d’une tête allait tomber. - Vous inquiété pas si ses fameux amis viennent je pense que c’est plutôt eux qui prennent le risque de perdre leur tête. Mais merci de m’avoir prévenu, me voilà avertie. C’est alors que les mains attaché à une corde que je tirais et les pieds relié à une chaine l’empêchant de partir en courant, nous nous mires en route pour le village caché de Suna. C’est alors muni d’autorisation spéciale que je traversai le territoire du pays de la feuille pour aller en direction du désert. Une escorte de ninja de Konoha se joignait à moi pour être sûr que je me détourne pas du bon chemin. Mais si j’étais assez mécontent de leur méfiance j’étais plutôt assez satisfait car temps que ses ninjas m’escortaient je ne risquai pas que des ennemis me tombent dessus. Le parcours fut plutôt et les ninjas m’escortant me semblaient peu bavards. On sentait pleinement que les liens entre les villages étaient plutôt tendus et que ceux-ci se limitait à de simple échange en bon entendement. C’est alors après de longue heure de parcoure que j’arrivai jusqu’au désert de Suna. Les ninjas de Konoha me quittèrent tout en s’assurant que je ne revenais pas immédiatement sur mes pas. Je serais alors seul avec mon prisonnier pour rejoindre le lieu de rendez-vous. Le sable caressait mon visage à chaque bouffé de vent. Petit à petit je ressentais les mêmes sensations que dans mon enfance. Ce sable qui gisait sous mes pieds était l’essence même de mon pouvoir et malgré la peine qui me rattachait à ce lieu je me sentais quelque part au fond de moi comme rassuré. En utilisant mes capacités de traque je pris conscience qu’un ninja de haut rang m’attendait déjà sur le lieu de rendez-vous. Mais c’est alors que je m’aperçus que nous n’étions pas seuls. Je ressentais le chakra d’au moins trois personnes étrangères qui s’approchait à grande vitesse dans notre direction. Je réagis alors sans tardé et souleva le prisonnier pour le porté tel un sac de pomme de terre sur mon épaule. C’est alors dans les cris de détresse de mon coli que j’arrivai au lieu de rendez-vous et aperçu celui qui devait être sans nul doute le ninja de Suna devant réaliser le transfert du prisonnier. C’est alors avant même que je ne puisse me présenté à lui que les ninjas qui m’avait juste avant pourchassé arriva jusqu’à nous. Je projetais alors le prisonnier au sol au pied du ninja de Suna et m’adressa au Sunajin pendant que je dégainai mes épées. - Je suis Tenzou du village caché de Kumo. Nous avons été suivies. Des ennemis viennent sur nous prépare toi !

Transfert de prisonnier

1) Embuscade ?